La plaine des Sables - Histoires de Sexe

La plaine des Sables

... la place ?
— Hmm, quartier libre, on fait ce qu’on veut…

Victor se tourne vers Lionnel :

— Et toi ?
— Le quartier libre me convient.

Puis il se tourne vers Brigitte :

— Et toi…
— Euh… je n’ai pas trop d’avis… Honnêtement, je suis un peu dépassée par les événements…
— Nous ne te forçons pas la main, j’espère ?

Les yeux brillants, elle esquisse un mignon sourire :

— Non, non, je suis consentante, mais je n’ai pas eu le temps de me préparer, tout ceci s’est enchaîné de façon imprévue.
— Pourtant, vous nous avez suivis à partir de l’auberge.
— Oui, c’est vrai, mais je ne pensais pas que… que nous serions si vite dans le bain…

Puis elle se met à nouveau à rougir. Son mari explique :

— Brigitte aime bien quand c’est planifié d’avance, quand tout est écrit d’avance sur un papier et qu’on suit dans le bon ordre ce qui était prévu. Comme une procédure Qualité…
— En effet, ce n’est pas trop le cas… Le libertinage, c’est improvisé dans la plupart des cas, ça fonctionne au feeling, en fonction de la direction du vent.

Saisissant maintenant la verge de mon nouvel amant, je me relève en lui disant :

— Allons faire joujou dans la chambre d’amis, je crois que ce sera préférable. On se donne rendez-vous dans le salon dans une bonne heure, OK ?

Brigitte s’étonne :

— Dans une bonne heure ?
— Oui, quoi, ça t’étonne ?
— Ben… une heure, c’est beaucoup !
— Tu es dans les mains de mon mari…

Victor sourit, mettant déjà ses mains partout sur son ...

... nouveau jouet féminin :

— Et souvent, une heure, c’est pas assez !

Je sors de la bibliothèque en entraînant avec moi Lionnel que je mène toujours du bout de son bout.

Je ne vais pas détailler toutes les cochonneries que j’ai pu faire avec Lionnel. Néanmoins, je peux dire que j’ai eu la nette impression qu’il rattrapait le temps perdu et qu’il était en train d’expérimenter des choses qu’il n’avait pas pu faire avec sa femme ou une autre.

Je ne lui refuse rien… Son enthousiasme fait plaisir à voir !

Un peu plus tard, je décide d’aller dans le salon, puisque Lionnel semble avoir vidé toutes ses ressources. Si je dois tirer un bilan, je dirais que ça va, j’ai connu mieux, mais ce partenaire est dans une moyenne haute. Sa résistance pas très au top est compensée par son exaltation de grand gamin.

Quand Brigitte arrive à son tour toute seule dans le salon, où son mari et moi faisons encore de gentilles galipettes, je vois bien qu’elle a bien profité, elle aussi. Son visage, son corps, sa façon d’agir montrent bien qu’elle est à la fois épuisée mais ravie. Ce qui ne m’étonne pas de mon cher mari qui se montre quelques secondes plus tard.

Il s’installe dans un fauteuil, puis il fait s’asseoir Brigitte sur ses genoux. Inutile de préciser qu’il abuse joyeusement des formes de sa compagne de jeu, aussi bien des mains que des lèvres.

Amusée, je lance à ma consœur :

— Alors, c’est bon ? T’as moins d’appréhension ?
— Je dois reconnaître que… enfin… ça me gêne de le ...