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Ma vie 21
Datte: 10/08/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Conteur, Source: Hds
Pendant quelques jours je n’ai eu aucune nouvelle de Hans, surement occupé par d’autres culs ou bouches. A la fin du mois Will m’a amené le jeune mec de l’aéroport. -Il dit s’appeler clebs et veux vous voir. Oui je le connais reste là Will et toi le clebs tu te fous totalement nu. Il a eu un regard vers Will puis s’est décidé et à tout ôter sous le regard amusé de Will. -Je ne sais pas où tu l’as trouvé mais il est chaud celui-là. Toujours décidé à n’être qu’une chienne ? -Près à tout pour un mâle, un qui en a quoi. Laisse tout ici, prends seulement tes papiers et va voir Kurt à côté qu’il te mette dans les employés et tu reviens. Nu ? Evidemment, tu n’es pas un caniche qui a besoin d’un manteau. Lui s’il te bouffe ce sera la queue. Il s’est penché sur ses fringues pour sortir sa carte d’identité. Montre-moi avant. Tu mériterais que je te vire, La dernière fois tu n’étais pas majeure lopette. Il a baissé la tête. -Oui mais j’ai aimé et vous aussi et maintenant je le suis. File voir Kurt ! Il a remué son petit cul en sortant, mignon comme tout. -C’est qui ce mec m’a demandé Will. Le futur garçon de l’accueil. Je me le réserve pour le moment. Je préviendrais Bruno que celui-là m’est réservé et que Hans n’y touche pas. J’ai envie de me défouler les nerfs sur ce gamin, je verrais vraiment ce qu’il a dans le ventre. Il a des couilles ok mais je veux bien plus de lui. -Hum je sens les cris et les pleurs. Qui est à l’accueil en ...
... ce moment ? -Une nana qui prend aussi les appels et oriente selon les demandes. Ok elle y reste le temps que le clebs sache ce qu’on attend de lui et on la mettra au bar pour les bons clients. Laisse-moi et laisse aussi la porte ouverte. Au fait comment s’’est passé la nuit pour Kurt ? -Pas trop mal il a des valises comme des malles sous les yeux. Il est sorti en rigolant. Peu après le clebs est revenu et a attendu laissant la porte ouverte. Je lisais un rapport sur mon ordi. Le matant par-dessus l’ordi d’un œil. Il l’a remarqué et sa bite s’est déployée. J’ai refermé l’ordi. Suis-moi on monte sur la terrasse. Il n’a rien dit et m’a suivi vers l’ascenseur. Une fois dehors, j’ai pris ses couilles dans la main et j’ai serré. J’ai vu ses yeux s’agrandir et se mouiller mais il attendait, confiant en moi. Ecoute bien, dans cette entreprise tu es à mon entière disposition, ça comprend tes couilles, ta queue, ton cul et tout le reste, tétons compris. Si je te demande quoi que ce soit tu obéis. C’est bien ce que tu voulais ? -J’en avais très envie oui et je serais votre serviteur, esclave si vous préférez. J’ai la mentalité faites pour ça. Mets-toi à genoux et va contre la rambarde. J’ai pris une cravache posée sur un petit placard. Je sais que le gazon artificielle pique les genoux mais avance et passe la tête entre les barreaux assez bas, regarde la rue. J’ai passé les menottes à chaque poignet et à un barreau différent pour le tenir bras écarté. J’ai fini ...