Mieux vaut Qatar que jamais - Histoires de Sexe

Mieux vaut Qatar que jamais

... cinquantaine, elle était loin d’imaginer que son corps, quoique parfaitement conservé, pourrait inspirer un gars de vingt ans moins âgé. C’était moins vrai du côté de Margot, contemporaine des deux supporters. C’est d’ailleurs cette proximité d’état civil qui avait servi de lien à l’origine et Margot ne s’était pas étalée sur le fait qu’elle était mariée. Michael l’avait un peu négligée ces derniers temps et l’idée qu’elle se fasse draguer loin de ses bases ne lui était pas désagréable, loin de là. L’embêtant, c’était la présence de sa mère et la surveillance potentielle de sa fidélité. Mais les deux garçons avaient pris soin de ne pas l’écarter, séduits par sa bonne humeur autant que par son physique à peine marqué par les ans. Magali en avait été flattée et trouvait bien du charme à ces deux gaillards, pourtant plus sexués qu’élégants.

Voilà pourquoi, elle s’en souvenait maintenant, tout avait dérapé au cours de la soirée de la veille. Margot s’était rapprochée d’elle et lui avait dit à l’oreille :

— Tu me laisses la chambre ce soir ?
— Et pourquoi donc ?
— Ben, j’ai envie de baiser. Avec Jordan et Kevin.
— Quoi ? Tous les deux ? Et Michael alors ? Tu penses à lui ?
— J’ai dit baiser, pas faire l’amour. Allez, s’il te plaît, laisse-moi la chambre.
— Et moi alors, je deviens quoi ? Je vais dormir où ?
— Tu n’as qu’à continuer à faire la fête, elle est loin d’être terminée. Et tu me rejoindras plus tard quand on aura fini.
— Pas question. Je vous accompagne.
— ...

... Quoi ? Tu… veux baiser aussi ?
— C’est ton tour d’être surprise, hein ? Et pourquoi pas ? Je suis bonne à jeter au rebut ?
— Et papa alors, tu y penses ?
— Pas plus que toi à Michael. Allez, on y va.
— Mais… dans la même chambre ?
— Tu ne veux quand même pas que je reste dehors. Avec la mentalité d’ici, c’est un coup à finir au gnouf.

Vaincue par les arguments de sa mère, Margot se résigna à ce qu’elle l’accompagne en compagnie des deux chevaliers servants. Lesquels se gardèrent bien de dissuader la quinquagénaire, d’autant qu’ils la trouvaient éminemment baisable avec son joli petit cul. Et c’est ainsi que le quatuor entra dans la chambre devenue celle du stupre.

Magali et Margot ne s’étaient évidemment jamais trouvées dans une telle situation. Qu’elles puissent faire l’amour, ou plutôt baiser, avec deux quasi inconnus, dans deux lits voisins, ne leur serait jamais venu à l’esprit et il fallait vraiment la folie de la victoire des bleus pour en arriver là. C’est pourtant ce qui se produisit, car l’une et l’autre avaient le feu dans la culotte, d’ailleurs très légère sous leur mini robe.

— Je prends Jordan, tu prends Kevin, avait décrété Magali, plus mère que jamais.

Et c’est ainsi que les deux intéressés s’étaient laissés entraîner vers les lits jumeaux par deux femelles impatientes de voir leur queue avant de se la fourrer dans la bouche puis leur chatte brûlante. Baiser la mère et la fille dans la même piaule, voilà ce que l’équipe de France de foot leur ...