COLLECTION ESCORTE BOY. Le bal des vieilles. Début de la saison I (1/3)
Datte: 09/08/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... ?
• Avec ma mère, par le plus grand des hasards, je viens de découvrir ce dancing.
Je la fais danser toute l’après-midi, elle semble adorer les slows ou elle se colle à moi.
Je dois faire un effort surhumain pour que ma queue reste sage, quand sa copine vient la voir.
• Giselle, tu viens, je dois rentrer Alain rentre à vingt heures et il faut que je lui prépare à manger, il travail de nuit.
• Mince, il est si tard Alice, mon beau ténébreux dont j’ignore jusqu’à son nom m’a fait passer une après-midi exceptionnelle.
• Je m’appelle Bruno.
• Bruno as-tu une voiture ?
• Oui, mais elle est vieille.
• S’il le faut je la pousserai, tu peux me raccompagner, j’aimerais danser encore.
• J’ai eu plaisir à vous faire danser, vous êtes aussi doués que ma maman.
• Oui, mais je dois être bien plus jeune.
J’ai envie de la détromper bien qu’elle ait raison, mais si je suis resté puceau jusqu’à il y a peu, c’est à cause d’une petite timidité qui me caractérise.
Il est presque vingt heures quand nous quittons la boîte et c’est avec appréhension que je lui ouvre la portière de ma titine.
• Merci Bruno, ta maman a fait de toi un bon danseur et aussi un gentleman.
• Merci madame.
• Appelle-moi Giselle.
Elle me guide et me dirige vers les quartiers chics de notre cité.
Nous nous arrêtons devant un haut portail.
Je pense qu’elle va descendre, mais elle prend dans son sac une télécommande et l’ouvre.
• Entre ta voiture, tu as bien mérité ...
... un dernier verre.
En me disant cela elle me pose sa main sur ma cuisse.
J’entre et je descends devant la maison de nos rêves à maman et à moi.
Elle me fait entrer, elle me dirige vers une terrasse où je remarque à quelques mètres une piscine d’au moins vingt mètres de long.
• Prends-tu le même tarif que tes collègues ?
Tiens voilà pour toi.
Viens, on va se baigner.
Elle me met dans la main des billets dont le premier est de 200 €.
En même temps avant que j’aie le temps de réagir elle dégraphe sa robe qui tombe au sol me la montrant une fraction de seconde nue divinement calibrée.
Je reste sans voix regardant la liasse dans ma main.
• Allez, met les dans ta poche et viens me rejoindre.
À ce qu’elle me dit je me sens ridicule et comme un robot je fais ce qu’elle me demande.
J’enlève mes affaires gardant mon caleçon et je plonge à son côté.
Je suis à sa hauteur quand je reprends pied.
Elle vient dans mes bras collant sa poitrine bien plus forte que celle de maman avant de me donner sa bouche.
Elle se recule me permettant de reprendre mon souffle.
Il était temps, contrairement à la salle de danse, sa peau nue commence à me faire bander.
• Je vois que tu bandes, si tu me baises aussi bien que tu m’as fait danser, tu es le mâle parfait.
Après ma cuisse dans ma voiture, c’est carrément dans mon caleçon qu’elle entre sa main.
Elle me masturbe doucement, je bande comme jamais.
Est-ce la situation insolite, j’ai conscience ...