1. Soumise


    Datte: 09/08/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Celinefeline, Source: Hds

    J’aime être soumise aux hommes. Je ne saurai pas expliquer les raisons ou les causes de ce vice mais je ne peu concevoir l’acte charnel sans me sentir sous l’emprise de l’homme avec qui je copule !
    
    Depuis toute jeune et mes premiers émois, j’ai toujours été attirée par les mecs virils et machos, les minets, très peu pour moi ! Par contre l’acceptation de ma part de se côté SM ne c’est faite que petit à petit. J’étais, vers 18 ans, comme la plupart des filles de mon age, bercée par des rêves un peu « fleur bleue ». J’attendais le prince charmant, seulement, moi, il n’était pas blond, imberbe et filiforme… Il était plutôt bien brun, musclé et assez poilu !
    
    Ma première fois avec un mec c’est passé avec un petit ami doux et prévenant, je n’ai rien à lui reprocher, il a été vraiment sympa et a tout fait pour que cela se passe bien. Par contre je n’ai pas vraiment ressentis d’orgasme, du moins pas tel qu’on en rêve, j’étais juste bien avec lui et heureuse d’être devenue une femme.
    
    J’ai eu, par la suite, différents petits amis qui me plaisaient mais aucun ne sus m’amener au 7° ciel ! Je les prenais pourtant tous bien virils !
    
    A l’age de 20 ans, alors que j’allais à la Fac, je perdis mes dernières rondeurs d’adolescente pour devenir une jeune et jolie femme. Blonde, les yeux bleus, des jolis seins ni trop petits ni trop gros, un petit cul rebondis et de longues jambes faisait que je plaisais (et à 30 ans je plais toujours !!!) beaucoup aux hommes.
    
    Je pris conscience ...
    ... d’un fait nouveau à cette époque là, c’est que je prenais plaisir aux regards des hommes un peu « goujats » sur les bords ! En effet, sur le chemin de la fac, il y avait un chantier où travaillaient des ouvriers. Chaque matin quand je passais prêt d’eux, ils me sifflaient et m’apostrophaient. Elevée par un mère « ex-soixantehuitarde » et féministe, ce genre de façon de faire, je l’avais toujours condamné… Jusqu’au jour où cela m’est arrivée ! Car malgré moi, j’étais excitée par ces sifflets et termes grossiers à mon égard. Bien sur, au début, j’ai été outrée, je marchais vite parce que j’avais un peu honte d’être ainsi l’objet de leurs dragues peu finaudes ! Mais si ma tête pensais : « quels malotrus ceux là », ma culotte me disais : « comme j’aimerai qu’ils me touchent ! ».
    
    Au fil des jours j’ai ralentis ma marche pour profiter plus longtemps de la sensation de leurs regards posés sur moi. Puis je me suis habillée de façon plus provoquant : jupe plus courte, haut plus échancré, vêtements plus prêts du corps… J’ai fini par leur sourire carrément, leur décochant même des petits clins d’oeils qui voulaient tout dire !
    
    Ce qui devait arriver arriva : un jour, deux de ces ouvriers me suivirent dans la rue et voulurent me payer un pot. J’ai refusé, mais ils ont insistés et m’ont suivis jusque chez moi… J’étais apeurée mais aussi excitée… Et là, au lieu d’entrer dans mon appartement et de leur fermer la porte au nez, j’ai fait la chose la plus folle de ma vie de jeune et jolie ...
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