Des triplées puis leur tante dévergondent un puceau. 5 - Histoires de Sexe

Des triplées puis leur tante dévergondent un puceau. 5

... se vider. Il se retire à temps d’une chatte, de qui, il ne sait plus, prend sa lance en main et dirige les jets qui se succèdent vers les filles qui se sont vite retournées pour profiter de la manne. C’est incroyable la quantité qu’il déverse, elles en ont partout, le sperme coule sur leur poitrine, sur leur visage, elles arrivent à en avaler chacune une petit quantité et il en sort toujours, ses grosses couilles ne sont pas encore taries.

Avec un peu de persévérance et de temps, les triplées tirent un troisième tribut de ce « puceau » pas si branque que ça.

Les jours et les semaines se passent et Sylvie se pose des questions. Julien a l’air de plus en plus maladif, des poches sous les yeux et ses performances sexuelles sont en baisse. Il lui faut aussi de plus en plus de temps avant d’arriver à l’orgasme. Bien sûr, ça lui permet de s’éclater sur son chibre mais ce n’est pas normal à son âge. Une nuit, elle se lève pour assouvir un besoin pressent et entend des chuchotements puis des bruits bizarres à l’étage. Une fois sa commission faite, elle monte les escaliers et suivant le bruit, vient coller son oreille sur la porte de la chambre de Julien.

Pas de doute, on ne dort pas dans cette chambre et aux gémissements étouffés qu’elle surprend, il n’est pas tout seul. Une de ses nièces a dû flairer elle aussi la bonne affaire avec ce garçon est doit tellement lui vider les couilles qu’il est sur le flan pour les parties de jambes en l’air avec elle.

Sylvie n’y tient ...

... plus et ouvre la porte pour engueuler celle qui marche sur ses plates bandes mais reste stupéfaite, comme statufiée en découvrant l’horrible vérité. Ce n’est pas l’une des triplées, ni même deux, mais ses trois nièces qui œuvrent de concert sur ce jeune poney à la bite d’étalon.

Elles ne se rendent même pas compte de sa présence et continuent leur dépravation, qui avec une bouche, qui avec une queue qui avec une main de ce véritable jouet sexuel tout dévoué. Julien vient de l’apercevoir mais ne peut même pas prévenir les filles ou même bouger tellement il est prisonnier de ces chattes affamées.

-Quelle horreur les filles !... Sous votre toit !... Et pas une pour rattraper l’autre !... Et toi Julien, en t’accueillant ici, je ne croyais pas que tu dépraverais mes nièces !...

Les filles sont si surprises qu’il leurs faut un temps avant de réaliser et arrêter « la chevauchée fantastique » sur leur « cheval ». Elles sautent enfin du lit en essayant de cacher leur nudité. Julien, lui, reste couché sur le dos, les mains derrière la nuque, son pieu reposant fièrement sur son ventre, tellement sollicité qu’il en est presque enflé et n’a aucunement l’envie de dégonfler.

-Vous me faîtes honte, les filles !... à trois sur lui !... Vous avez fait de ce pauvre garçon innocent votre objet sexuel. Et en parlant d’objet, il en a un sacré entre les cuisses. Vous permettez ?...

Et sans attendre leur réponse, elle s’approche du bord du lit, tend un bras et se saisit à pleine main du ...