L'été de mes 18 ans 35
Datte: 07/08/2024,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: byJeunefilleperverse, Source: Literotica
Puis je me collai contre elle et parcourus sa nuque de baisers. Je l'entendis soupirer. J'attrapai alors sa culotte et la fis glisser à terre. Je posai ensuite mes mains sur ses seins que je me mis à caresser doucement. Je sentis ses tétons s'ériger sous mes doigts. Ma main droite descendit alors vers son pubis. Elle écarta tout de suite un peu les jambes pour me faciliter l'accès. Elle était déjà bien mouillée. Je jouai entre ses poils blonds puis j'attaquai sa fentine. Elle se raidit bien vite sous mes doigts fureteurs. Je me mis à agacer son bouton. Elle se mit à gémir et lorsque je me mis à pincer alternativement ses tétons tout en branlant son bouton, elle jouit dans un grand cri.
Je la fis pivoter et nous nous embrassâmes longuement. D'elle-même, elle se mit à déboutonner mon chemisier, l'ôta puis passa ses mains dans mon dos pour dégrafer mon soutien-gorge. Je la laissai lécher mes seins et suçoter mes tétons. Puis je m'écartai et allai m'appuyer contre une petite table en la regardant lascivement. Elle s'approcha alors et s'agenouilla devant moi. J'écartai alors les jambes et je sentis son souffle chaud sur mon pubis, puis ses lèvres qui se posaient sur mon sexe. Elle me fit plusieurs bisous, puis je sentis sa langue me pénétrer. Je me mis à gémir de plus en plus fort. J'étais sur le point de jouir lorsque j'ouvris les yeux. Et là, ô stupeur! Mon mari qui ne venait pratiquement jamais à la boutique, se tenait dans l'encadrement de la porte et nous fixait, les yeux ...
... exorbités.
Je vis à la grosse bosse qui déformait son pantalon que le spectacle ne le laissait pas indifférent. Angélique sentit qu'il se passait quelque chose et se retourna. Puis elle me demanda qui c'était. Quand je lui dis que c'était mon mari, elle se releva et s'approcha de lui, pas du tout gênée d'être nue et prise en flagrant délit. Elle posa la main sur la bosse, puis descendit le zip de son pantalon, le fit descendre ainsi que le caleçon, puis elle poussa un soupir de contentement en apercevant le gland violacé de Pierre. Je la rejoignis et l'embrassai à pleine bouche tandis qu'elle le branlait. Elle me demanda si je voulais bien qu'il la prenne. Devant mon signe de tête affirmatif, elle se mit à quatre pattes, tortillant son derrière sous les yeux de Pierre qui déglutit avec peine.
J'étais un peu abasourdie! Pierre, qui ne me faisait l'amour que dans le noir, toujours à la missionnaire, était sur le point de baiser une autre femme sous mes yeux : déjà, il s'était débarrassé de son pantalon et son caleçon et s'était agenouillé derrière Angélique. Ses deux mains malaxaient les fesses de la jeune femme qui ronronnait de plaisir. Puis il prit son sexe en main et l'approcha de la corolle trempée d'Angélique. Celle-ci poussa un gémissement tandis qu'il l'enfilait à fond. Il se mit à la limer avec application, lui arrachant des soupirs de plus en plus bruyants. J'observais la scène en caressant mes seins. Puis j'eus envie d'intervenir : je m'approchai d'eux. D'une ...