La Voisine du Dessus Ch. 02
Datte: 07/08/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: bymeo75, Source: Literotica
... s'offrir. Céline est maintenant allongée à ma place, un peu fébrile de m'avoir fait aussi mal, mais cela va vite passer. Je prends le paddle, je l'assène doucement pour commencer, trouver le geste, la position. Les premiers coups ne la font pas réagir, elle me regarde intensément, je sais pertinemment ce qu'elle veut. Elle ne sera pas déçue. Pourtant les fesses sont déjà roses. Mais je sens bien le coup de main, et j'appuie les prochains coups, très fort. Céline sursaute, ses yeux se voilent, elle me remercie, elle se détend, elle soulève légèrement ses fesses pour s'offrir. Le bruit est assourdissant, je la frappe à toute volée, ses gémissements me remplissent d'excitation et m'incitent à frapper plus fort. Je passe aux cuisses, les fesses étant déjà cramoisies et brûlante, c'est surprenant! C'est moins jouissif, je ne sais pas pourquoi, en fait je n'aime pas trop avec le paddle sur les cuisses. Je la touche, je la caresse, je la sens fondre, elle semble complètement partie, presque soule. Elle m'envoie des mots d'amour, c'est troublant.
La canne c'est plus subtil, et surtout bien plus joli. Même à faible vitesse, les coups marquent. Quand j'accélèrent, les marques sont violettes, je m'applique à bien les faire en parallèle. Céline saute à chaque coup, mais aussitôt s'offre à nouveau, je lui tiens la main, elle est en sueur. Sur les cuisses le résultat est encore plus marquant et joli, je pourrais compter les différents coups donnés, je me sens ivre de cette violence et ...
... de ce sadisme, je voudrais la faire craquer, elle répète en boucle Mon Seigneur, hébétée, je n'y arriverai pas, je suis épuisé, surtout par la tension sexuelle. Je jette la cravache et m'engouffre dans son sexe dégoulinant, je l'utilise pour m'apaiser et je jouis très vite, une seconde fois, avant de l'écraser de tout mon poids.
Je me réveille, tandis que Céline dort, apaisée, sur je ventre. J'admire sa peau si douce, le mince duvet en bas de son dos, ses cheveux en bataille, ses fesses si marquées, comme ses cuisses. Le renflement transparent du gode omniprésent, presque invisible maintenant que j'y suis habitué. Il ne faut pas qu'elle le soit trop, habituée, sans doute elle a besoin de cet inconfort. Je me lève pour aller à la boulangerie, préparer un petit déjeuner complet avec une omelette, elle dort toujours, je la réveille avec des bisous dans le cou, c'est délicieux. Son sourire est un cadeau des dieux, comme ses yeux qui sont autant de gouffres dans lesquels je pourrais me perdre. Je la regarde vraiment pour la première fois je crois, son ventre est si doux, plat, tendre, descendant naturellement vers son sexe masqué tant ses lèvres semblent rentrées, son pubis est totalement épilé, sans une marque, comme une invitation à écrire une page de son histoire. Elle est une invitation au sexe, j'aime tout en elle, chaque partie de son corps m'excite. C'est grave docteur?
D'une voix un peu timide elle me demande si j'aimerais lire la lettre qu'elle m'a écrite. Pas hier, ...