LAURA 066: je cède au chantage 05/13 - Histoires de Sexe

LAURA 066: je cède au chantage 05/13

... client pour son usage personnel ou même pour qu'elle travaille dans un bordel en France ou à l'étranger, une putain ça se remplace mais un bon pactole ça ne se refuse pas -

En entendant cela je panique et je me demande comment me sortir de cette situation. J'ai du mal à réfléchir et je ne trouve toujours pas de solution.

J'entends un bruit derrière moi. Amandine apparaît, je pense qu'elle vient chercher son chien qui est enfermé dans la cage faite de barreaux métalliques.

Je me trompe, elle tient un fouet, un martinet et une cravache dans ses mains. J'ai compris que cela allait être ma fête et que sans raison valable j'allais être battue.

Sacha qui savait ce qui allait se passer a repris un appareil photo en main.

- cela va être un plaisir pour moi de te foutre une raclée la putain, ils m'ont laissé la meilleure partie du programme -

J'ai d'abord droit à la cravache, les coups qu'elle donne sans retenue pleuvent sur mon corps pendant que je suis debout puis à genoux essayant d'esquiver et finalement couchée et recroquevillée.

C'est l'accalmie mais de courte durée. Je reçois l'ordre de me relever, Amandine me frappe maintenant avec le martinet et cela me fait très mal car elle ne retient pas ses coups.

Je dois encore changer plusieurs fois de position pour mieux présenter mon corps à la sadique qui prend son pied en me frappant.

Je pleure et crie mais les sons sont atténués par mon bâillon. Je finis ...

... encore recroquevillée sur le sol.

Ensuite debout puis couchée dans l'herbe j'ai droit au fouet et là toutes les partie de mon corps sont atteintes, parfois la lanière s'enroule autour de mon corps.

Quand les coups cessent enfin, mon corps est bien marqué et très douloureux.

- tu aime ça la putain, si tu en veux encore tu n'as qu'à demander -

- pitié madame! j'ai trop mal! je vous en supplie arrêtez! -

- tu croyais que j'allais faire semblant, tu fais moins la fière espèce de connasse qui te crois supérieure -

Mon maître qui a quand même tenté de la calmer pendant qu'elle me frappait lui dit que ça suffit, qu'elle a pris assez de plaisir et qu'elle m'a un peu trop démolie. Puis il s'adresse à moi -

- alors la putain tu préfères quoi: recevoir ce traitement tous les jours ou faire le trottoir, tu as le choix -

- le trottoir maître et le plus tôt possible, je vous jure que je ne vous décevrais pas -

- alors puisque tu insistes tu commenceras à tapiner la semaine prochaine -

Ma tortionnaire qui jubile boit un verre cul sec puis part chercher son chien avant de retourner chez elle.

Je n'en peux plus. Je touche à peine à mon écuelle du soir.

Mon maître me ramène dans le chalet et m'attache sur le plancher en bois qui me sert de lit.

Les douleurs dues aux coups que j'ai reçu sans parler des pensées qui tournent en boucle dans ma tête contrarient mon sommeil, ma nuit est peuplée de cauchemars.