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Monsieur Attilio
Datte: 01/08/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byANDRERP95, Source: Literotica
... doigt dans le cul. Le doigt s'est difficilement enfoncé en me griffant le muscle. J'ai poussé un petit cri dans ma chaussette. - Je veux que tu sois tout le temps bien lubrifié... Aussi humide que la chatte de ta salope de mère... J'ai baissé la tête. J'ai dû me lubrifier l'anus devant lui pendant qu'il prenait son café. Il a vu que j'avais encore quelques poils blonds autours de mon trou. Il les a ôté lui-même avec une pince à épiler. Ça m'a fait mal. - Fais-moi visiter la chambre de ta mère. Il m'a donné une baffe puis une seconde parce que je n'avançais pas assez vite à son goût. Je lui ai montré la chambre de ma mère. Il a fait le tour, a ouvert les tiroirs d'une commode. Ses grosses pattes poilues ont fouillé dans les sous-vêtements. - Pour qui elle met tous ses super sous-vêtements ta mère? Je ne savais pas moi-même. On ne parlait jamais de cela ensemble. Elle avait certainement une vie intime. J'en savais rien. Je connaissais ses vêtements, mais je ne m'étais jamais posé de questions. - Et votre linge sale, vous le mettez ou? Nu et la bouche toujours écartelée par le bâillon, je lui ai montré la panière de linge sale dans la salle de bain. C'était une grande panière en osier tressé, presque pleine. C'est la femme de M. Attilio qui venait faire la lessive une fois par semaine. - Vide-la dans la baignoire Il y avait beaucoup de linge de toutes sortes. M. Attilio a saisi deux slips sales de ma mère. Il les a roulés en boule. Il est venu vers ...
... moi, m'a arraché la chaussette de la bouche pour la remplacer par les slips de ma mère. Ça m'a fait mal. Pas physiquement non, cela m'a fait mal au moral de me servir des slips de ma mère comme bâillon. - Dorénavant je veux que tu me reçois avec ce bâillon. Elle a de la jolie lingerie ta mère. Faut en profiter. Et oublie pas de te faire un lavement... A partir de ce jour, c'est comme cela que j'ai dû recevoir M. Attilio plusieurs lundi d'affilé. Je lui ouvrais nu avec deux slips de ma mère dans ma bouche. Toujours nu, je lui servais un café très fort qu'il sirotait en m'auscultant de le tête aux pieds pour vérifier si je m'étais bien épilé le bas ventre et si mon trou était bien enduit de vaseline. Je devais lui montrer ma raie en me cambrant du mieux possible. Quand il avait fini de boire son café, il se levait pour m'enculer sur la table de la cuisine. Je devais me coucher à plat ventre, jambes dans le vide et fesses ouvertes. Je ne le voyais pas sortir son sexe. Je devinais qu'il se masturbait en me regardant avant de s'enfoncer dans mes reins lubrifiés et offerts. Il m'enculait en prenant son temps et il adorait me donner une fessée en même temps. Je serrais les dents car il me faisait mal et je criais dans les culottes de ma mère.... oooOOooo Et tous les lundis, M. Attilio m'a ouvert le trou jusqu'à ce que son sexe me pénètre sans aucun problème. J'avais pris l'habitude de lui offrir mon trou sans rébellion, ni révolte. Je subissais la loi de sa queue ...