1. Monsieur Attilio


    Datte: 01/08/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byANDRERP95, Source: Literotica

    ... Attilio me rendait visite.
    
    - Tu es devenu une bonne larve.... Bien obéissante.... Avec une bouche accueillante et un cul bien souple...... Enlève les sous-vêtements de ta mère.....
    
    Je me suis mis nu dans la cuisine. J'étais parfaitement épilé de la taille aux hauts des cuisses. Heureusement que je ne pratiquais aucun sport à la faculté et que ma mère me savait pudique. M. Attilio s'est levé pour venir près de moi. Il a fouillé dans la poche de son blouson.
    
    - Il est temps que tu sois ma bonne petite chienne.
    
    Il a sorti de sa poche une laisse et me l'a montrée. Une lanière d'environ un mètre cinquante en cuir rouge avec à un bout un collier auto-étranglant en maille d'acier avec les pointes de chaque maille tournées vers l'intérieur.
    
    - Tu vois si tu es trop récalcitrant, je tire dessus, et les pointes s'enfoncent dans le cou. Aucun chien ne résiste à ce genre de collier.... Je suis sûr que j'aurai pas besoin de te faire mal.
    
    C'est lui qui m'a mis le collier autour du cou. Le métal froid m'a fait frissonner. Il a à peine tiré que j'ai sursauté. Douleur et sensation d'étranglement.
    
    - Mets-toi en levrette.... Allez
    
    Je me suis mis à quatre pattes dans la cuisine. Il a attaché l'autre bout aux pieds de la table. Il suffisait que je tente d'avancer pour que le collier m'étrangle.
    
    Il a mis son pied devant mon visage.
    
    - Embrasse...
    
    J'ai mis trop de temps à obéir, il a tiré d'un coup sec sur la laisse. Les griffes du collier se sont enfoncées ...
    ... dans mon cou. J'ai baisé sa chaussure.
    
    - Encore..... Encore....
    
    J'ai embrassé le bout de sa chaussure. Il tenait fermement le collier et m'obligeait à me prosterner, le visage contre sa chaussure.
    
    - Maintenant tu lèches....
    
    Le collier m'a à nouveau serré le cou. Me faisant mal. J'ai passé ma langue sur la chaussure de M. Attilio.
    
    - Lèche comme un bon chien qui aime son maître...
    
    J'ai obéis. J'ai longtemps léché la chaussure maculée de graisse et tâches de peinture.
    
    - Stop salope... Je reviens....
    
    Il est revenu au bout de quelques minutes. Il tenait des vêtements dans la main. J'ai reconnu mon pantalon de jogging et un polo à col roulé trop grand pour moi. Un cadeau de ma grand-mère. Il a détaché la laisse et m'a tendu les fringues.
    
    - Les animaux, il faut les sortir pour qu'ils fassent leurs besoins.... Ne t'inquiètes pas personne ne verra la laisse sous tes vêtements et là ou on va on sera tranquille....
    
    Pour la première fois, j'ai quitté l'appartement en sa compagnie. Je tremblais de peur. Je sentais la laisse contre mon corps et le collier autour du cou. J'avais peur de rencontrer quelqu'un dans le couloir ou l'ascenseur.
    
    M. Attilio a sorti un gros trousseau de clefs et a saisi une petite clef plate qu'il a inséré dans une serrure sous le bouton d'appel de l'ascenseur. Dans l'ascenseur, il a fait la même chose. Nous sommes descendus sous le dernier niveau des parkings. Je ne savais pas qu'il y avait encore un sol-sol.
    
    - C'est l'étage ...
«12...141516...»