1. Monsieur Attilio


    Datte: 01/08/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byANDRERP95, Source: Literotica

    ... Attilio me demandait de plus en plus de choses dégradantes. La première fois qu'il m'a présenté sa bitte devant ma bouche après m'avoir sodomisé, j'ai failli vomir sur le carrelage de la cuisine. Il m'a obligé à découvrir le goût de mon anus, mes odeurs intimes mélangées à son sperme. J'ai attendu à genoux devant son gros ventre, qu'il me mette son sexe sale dans ma bouche.
    
    J'ai appris à rester couché à plat ventre sur mon lit, bras et jambes en croix à attendre qu'il me couvre de ses cents kilos de graisse et de muscle.
    
    Mais M. Attilio n'aimait pas cette position à cause de son ventre. Pourtant je creusais les reins tant que je pouvais. Il a décidé qu'il me sodomiserait par devant comme quand on baise avec une nana.
    
    J'ai appris à me coucher sur le dos dans la cuisine, sur la table, et me tenir les jambes sous les genoux, pour bien les relever vers mon ventre. Dans cette position, mon trou était offert et ouvert juste à la hauteur de son sexe qui venait transpercer sans obstacle mon anus lisse.
    
    Puis il s'agrippait à mes cuisses et me sodomisait en prenant tout son temps. Il me regardait quand son gland tapait au fond de mon ventre, contre ma prostate. Il disait que j'avais un visage féminin quand sa queue me tringlait.
    
    J'étais maintenant complètement glabre de la taille jusqu'en hauts des cuisses. On ne voyait pas mes autres poils blonds et j'avais maintenant les cheveux plutôt longs. M. Attilio le voulait.
    
    Ma mère trouvait que cela m'allait parfaitement ...
    ... bien.
    
    oooOOooo
    
    Au fil des lundis, M. Attilio me transformait et me soumettait à toutes ses envies, et au bout d'une année, il suffisait qu'il fasse un geste pour que je lui obéisse au doigt et à l'œil.
    
    Par exemple, chaque fois qu'il claquait des doigts, je devais marcher à quatre pattes jusqu'à ma chambre et me positionner à genoux contre mon lit. S'il touchait mes cheveux longs, je baissais mon torse, me cambrais au maximum et écartais les jambes pour qu'il se mette à genoux derrière moi.
    
    Puis un lundi, j'ai dû renverser la panière de linge sale dans la baignoire. Ma mère était rentrée tard le samedi précédent et bien sur M. Attilio le savait. Il a trouvé un petit string de dentelle rouge et des bas noirs. Il les a longtemps humé puis me les a tendus.
    
    - Sens les.... Vas-y sens le fond du slip...
    
    Pour la première fois de ma vie, j'ai senti l'odeur intime, forte et envoûtante de ma mère. J'avais envie de me sauver pour y échapper. Je ne voulais pas le faire. Mais impossible de désobéir.
    
    - Ca sent la mouille d'une bonne salope... Crois ce que je te dis p'ti je connais bien cette odeur... Y en a plein la citée des meufs en chaleur...
    
    M. Attilio a promené le slip et les bas sur mon visage. Mes narines captaient toutes les effluves de ma mère. Puis il m'a flatté les fesses.
    
    - Tu as un très joli petit derrière.... Un vrai pt'i cul de salope en manque.. Je suis sûr que cela t'ira parfaitement..... Allez, maintenant tu vas mettre les sous-vêtements de ta ...
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