Emprise - Histoire d'Aïké (03)
Datte: 29/07/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: byAPVapv, Source: Literotica
... sonore.
Puis au quatrième jour, Marie Mousatir entra dans la cellule avec une gamelle en inox pleine d'une bouillie indistincte.
- Si tu te prosternes en louant ta Maîtresse, tu pourras manger, chienne.
Sans réfléchir, comme le chien de Pavlov, Aïké se jeta au sol et supplia. Dès que la gamelle toucha le sol, comme un animal, la somalienne plongea son visage dans la bouillie.
Après, on la mena au donjon attenant et, attachée à un poteau, le fouet commença son office. Maîtresse Marie ne s'économisait guère et la peau de la black se zébra au sang. La douleur est comme la guêpe qui importune, et contre laquelle il ne faut faire aucun mouvement, à moins qu'on soit sûr de la tuer, sans quoi elle revient à la charge, plus furieuse que jamais. Les jours passants, Aïké intégrait sa soumission et acceptait la douleur des tortures quotidiennes. Canne, martinet, fouet, les instruments de son éducation agissaient avec efficacité. Une ceinture de chasteté empêchait un soulagement onanique dont la jeune femme était pourtant friande.
Après des semaines, le comportement de la prisonnière satisfaisait ses Maîtres. Moussa fut requis. Le grand black attacha Aïké à quatre pattes sur une sorte de poutre.
- Demande-moi de te trouer le cul, murmura le tatoueur à l'oreille de la suppliciée.
Sans hésitation, Aïké articula :
- Maître. Prenez moi le cul si tel est vôtre plaisir.
L'énorme mandrin noir pointa sur l'œillet délicat et poussa. L'orifice s'écartait lentement et ...
... la respiration d'Aïké s'accélèra. L'expertise de bondage du Maître n'offra aucune issue d'esquive à la somalienne qui ne pouvait qu'accepter la dure queue la pénétrer. Et, quand l'anus céda, la tige épaisse entra entièrement dans le boyau. Aïké gémit. Moussa lança :
- Nous courons après la jouissance comme des enfants après des bulles de savon, mais c'est dans la souffrance que nous trouvons la véritable signification de la vie.
Après s'être vidé entre les fesses, il rasa la tête de la soumise. Les cheveux s'étalaient sur le sol en ciment et les larmes de la jeune femme s'y mêlaient. Et, tous les jours pendant des semaines, il vint l'enculer et l'épiler au laser. À la fin, aucun poil ne repoussait sur le corps.
Education
Ce fut le tour de Jacques. Il affama encore Aïké pendant plusieurs jours avant de commencer son traitement.
Chaque jour, à heure fixe, après qu'une petite clochette tintait dans le donjon, il fixait son appareillage sur le corps élancé de la somalienne et il la faisait jouir pendant une heure. Du cul, du sexe, du clitoris et même des seins, Aïké ne pouvait s'empêcher d'être emportée par de puissants orgasmes.
A la fin de la semaine, Jacques revenait fixer une ceinture de chasteté et nourrir la soumise dans sa gamelle. Les jours passant, d'une heure, le traitement passa à deux heures. Dès que la clochette tintait, le sexe de l'esclave mouillait comme une chienne bien dressée.
- L'esclavage, c'est une fatalité comme une autre, on n'en sort ...