Gilou rêve de terres nouvelles. - Histoires de Sexe

Gilou rêve de terres nouvelles.

... temps, je remarque une gêne dans son comportement que je m’explique à son excitation sexuelle. Le coquin, il bande comme un taureau sous mes caresses. Cela me fait tout chaud qu’un si jeune homme trique pour moi et non pour Lenka, elle n’a même pas l’air de l’intéresser, c’est bien pour moi que son chapiteau se dresse. Je pense que je vais tester ses capacités de lutte, chose que son père ne lui a pas apprise, se limitant au pugilat, aux réflexes et au développement physique.

Demain je le convoque au gymnase pour commencer l’entraînement à la lutte, son père n’a jamais voulu tester avec moi, car probablement il se doute qu’il risque de perdre. Cela restera toujours une question en suspens entre lui et moi.

Le lendemain, les deux se retrouvent au gymnase en tenue adéquate. Après les étirements et échauffement, Patlarat commence à lui montrer les techniques de déstabilisation de l’adversaire. Comment le faire tomber pour l’immobiliser par la suite. Viennent ensuite, les immobilisations au sol et là, cela se complique suivant certaines situations, spécialement quand il se retrouve immobilisé avec la chatte de Patlarat sous le nez émettant un parfum qui ne reste pas sans conséquence et Patlarat a la réponse à ses doutes quant à ses attributs, ils sont aussi impressionnants que ceux de son père. Continuant son immobilisation en changeant de position, se remettant dans le bon sens, elle sent contre sa chatte taper une queue dure qui demande l’accès.

Bon Dieu, il est bien ...

... bâti le gamin et il semble qu’il apprécie mes sucs. Qu’est-ce que je fais ? Je précipite les choses, cela fait déjà un bout de temps que mon minou n’a pas eu de visite. Mais non, soyons sérieux, il y a encore à apprendre.

C’est pas croyable, après m’avoir plaqué contre le sol, elle me montre comment m’immobiliser et avec cela, je me retrouve avec son minou à portée de nez et de langue. C’est fou comme son odeur m’affole, je ne peux me retenir de bander comme un satyre. Cela ne m’étonnerait pas qu’elle remarque mon état. Ouf, elle se remet dans le bon sens, me fait une clé au bras, m’empêchant de faire un quelconque mouvement sous peine de voir mes articulations se briser.

— Voilà, je crois que pour aujourd’hui, je t’ai assez montré, à ton tour de me montrer comme tu as bien appris.

Je répète avec elle les déstabilisations, examen réussi avec mention, suit les immobilisations, là les choses se gâtent, dans la position qu’elle m’a faite subir, elle se retrouve avec ma bite juste en face de sa bouche. La salope, elle réussit à me déstabiliser à mon tour en me léchant le bout de ma queue qui dépasse et je me retrouve les quatre fers en l’air, car sans faire exprès, j’ai relâché ma prise tant la sollicitation est forte.

— Voilà un autre enseignement, lors d’un combat, ne pas mélanger sexe et lutte, on perd toutes les fois. On finit là et on va prendre une douche pour décrasser la transpiration.

Sous la douche, je ne suis pas au bout de mes surprises, sans transition, ...