La rencontre inattendue
Datte: 27/07/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Alainylon, Source: Hds
Je sonnais à la porte. Pas de réponse. Au bout d’un certain temps d’impatience, je frappais de nouveau, mais là un peu plus fort, pour pas plus de succès. Mais sous le choc de mes coups, la porte s’était entrouverte. Je me mis alors à appeler dans l’intervalle pour rien puisque personne ne vint. Comme j’avais rendez-vous je me permis alors d’entrer, tout en m’annonçant. Comme personne ne répondait à mon appel, je m’engageais tout de même à l’intérieur. Très vite je perçus une conversation. Tout en me présentant je me dirigeais en direction du son. Et il m’emmena jusqu’à une chambre. J’y découvrais une femme, allongée sur un sofa, un portable à la main.
La quarantaine, rousse, vêtue d’une robe de chambre en satin sous laquelle on devinait aisément qu’elle ne portait rien d’autre.
M’apercevant, elle me fit signe d’approcher. Je m’exécutais. La femme avec une lenteur calculée, se rapprocha au bord du sofa, la tête callée sur l’accoudoir. Elle posa le pied gauche sur la moquette, repliant son autre jambe. Ce qui eut pour effet d’ouvrir la robe jusqu’à la bordure de son bas, par ce que oui, ses jambes étaient gainées de noir. Elle m’adressa alors un sourire ravageur. Elle tendit sa main gauche saisissant la mienne me tirant jusqu’à elle. Elle la posa sur le dernier bouton de sa robe, dans un geste sans équivoque. En même temps, elle dit de sa voix rauque dans le portable : - Il vient d’arriver. Et le coquin ne perd pas son temps. Il effleure de ses doigts ma cuisse. Je ...
... crois qu’il va défaire ma robe. Et tu sais chéri j’en aie une énorme envie.
Là elle poussa un soupir qui aurait réanimé à la vie un mort. Puis poursuivit d’une voix lourde de promesse.
- Ça y est… il est en train de défaire ma robe le pervers.
Je percevais une voix suppliante jaillir du récepteur.
- Salope ! Tu vas encore te faire baiser !
Elle eut à ce moment là un rire de gorge et bougea un peu pour que je puisse aisément défaire la ceinture de sa robe de chambre. Comme je l’avais deviné elle ne portait rien dessous. Je regardais le récepteur à quelques centimètres de mon visage.
- Bien sûr répondit-elle. Si tu étais ici plus souvent je n’aurai pas à devoir assouvir mes envies avec d’autres.
Je me tenais tout près d’elle. Il faisait chaud, même très chaud. Une secousse me traversa quand je sentis ses doigts me prendre ma main.
- Vous me plaisez, murmura-t-elle en faisant descendre ses mains sur ma poitrine.
- Mais… - Ne dites rien. Dès que vous avez passé la porte et que je vous ai vu, j’ai su que vous aviez envie de moi.
Sur un bref gémissement tandis que mes doigts prenaient entièrement possession de sa poitrine étonnamment volumineux par rapport à la finesse de son corps. Je me penchais pris au jeu, m’approchant des pointes durcies.
Sa main libre se dirigea vers mon ventre. Elle me caressait, sans toucher à mon sexe. J’aurais dû m’enfuir, ou mieux, lui ordonner d’arrêter là ce jeu dangereux. La volonté me manquait. Au contraire, je me cambrai ...