1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1690)


    Datte: 24/07/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – (Suite de l'épisode précédent N°1689) -
    
    - Crois-moi salope, tu ne sais pas si bien dire….
    
    Maxence en restait là, sans que je puisse réellement comprendre le sens de ces derniers propos. Très vite, j’allais capter. Les décharges électriques s’intensifiaient et se renforçaient sans relâche, autour de ma nouille et de mes couilles, j’hurlais de douleur alors qu’au même instant le gode plongeait une nouvelle fois dans mon cul, s’enfonçant terriblement jusqu’à ce que celui-ci soit en contact avec ma prostate. Les électrodes cognaient tellement que j’avais l’impression que l’on m’arrachait les couilles, que l’on me brulait ma nouille. Je suppliais, sanglotais, suait, paniquait. Le court moment de répit me laissait à peine le temps de reprendre mon souffle que déjà des chocs terribles faisaient rebondir mes couilles alors qu’elles étaient tenues étranglées dans ce ballstrecher.
    
    - Je suis sûr que tu commences à comprendre, salope… Je suis sûr que tu commences à regretter de porter ces minables boules entre tes cuisses... Les chiennes de ton espèce ne devraient pas en avoir, c’est une erreur de la nature… Tu le sais ça, réponds salope !
    
    - Aaah… Pi…pitié Mon… Monsieur… Aaaaah, je vous….
    
    - Tu ne sembles pas vraiment comprendre ce que j’exige de toi !
    
    Là, sous peu j’allais m’évanouir… tant la douleur était intense et insupportable… Mais à cet instant le gode vibrait de plus en plus au ...
    ... contact de ma glande intime. Je sentais monté le plaisir mais fallait-il encore que je maintienne le cap, que mes couilles puissent contenir ma semence. J’allais exploser, malgré ces électrodes et les coups de cravache que m’assénait Madame Louise.
    
    - Vas-y salope, balance tes souillures, crache ta merde, vide tes couilles !, ordonnait Maxence.
    
    A peine venait-il de finir sa phrase, que j’explosais, mon sperme en abondance jaillissait de mon membre via cette sonde urétrale, éclaboussant mon torse et le sol… Un orgasme foudroyant qui ne semblait jamais vouloir s’arrêter, avec des vagues de plaisir qui traversaient mon corps, montant de mes bourses pour s’épanouir dans chaque fibre de mon être. J’étais terrassé, laminé, anéanti… vidé…
    
    Quelques heures plus tard, j’étais encore dans le même état, allongé sur le sol, tenu enfermé, dans ces cachots que je commençais à bien connaitre, ceux du Château d’Evans. Walter était venu me récupérer et m’avait conduit directement ici, déposé dans ce lieu, après m’avoir ausculté consciencieusement le cul. Il n’avait fait aucun commentaire, et depuis lors, je me reposais en sommeillant régulièrement. Lorsque la porte s’ouvrit, je ne réagissais pas. Ce fut uniquement lorsque j’entendis ces mots : « A quatre pattes, salope, suis-moi ! » que je me secouais et me ressaisissais. C’était Monsieur le Marquis en personne qui était là, près de moi. Alors, sans une once d’hésitation, je me prosternais en levrette à Ses nobles Pieds et baisais chacune ...
«1234»