1. Comment transformer son neveu impuissant et harcelé en bête de sexe. 11


    Datte: 22/07/2024, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Mlkjhg39, Source: Hds

    ... j’ai élevé depuis ses cinq ans. Je me suis emparée de sa jeune bite érigée, y éprouvant un incroyable bonheur à branler mon « bébé ». J’ai activé ma main le long de ce jonc vigoureux et j’ai éprouvé des sensations d'une rare sensualité, des sensations que je n’ai jamais connues avec son père. Et quand, sous la sensuelle caresse que lui prodiguait sa presque mère, il a lâché son sperme, dans une monstrueuse et fulgurante jouissance, cela a suffit pour que je connaisse l’orgasme à mon tour. La vision de ces flots de sperme blanchâtres jaillissant tel un geyser d’Islande du méat dilaté m’a procuré un incommensurable plaisir, inondant ma culotte.
    
    Je suis comme une droguée, ne réalisant plus ce qui se passe autour de moi. Ma sœur et Ambre se précipitent sur moi pour nettoyer mon visage du foutre qui le recouvre avec gourmandise. La langue de ma sœur s’égare même et ses lèvres se collent aux miennes en un baiser au goût de foutre, le foutre d’Arthur… Après cette toilette de chat, ma sœur me congédie.
    
    -Cécile, tu viens de rompre un tabou. Ça suffira pour ce soir. A toi de voir si tu iras plus loin avec Arthur, mais ça ne sera pas aujourd’hui. Il faut que tu ais le temps de réaliser ce qui vient de se passer et décides après avoir pesé le pour et le contre si tu iras plus loin avec lui.
    
    Je prends congé et rentre chez moi. Je n’en reviens pas de ce que je viens de faire, et maintenant ? Je tourne dans mon lit, ne trouvant pas le sommeil. Je ne pense qu’à Arthur, à sa ...
    ... queue… Je suis loin d’être une mordue de sexe. Mais il y a si longtemps que je suis en manque. Mon éducation s’oppose à ce que j’aille plus loin avec Arthur. Mais la femelle qui vient de se réveiller en moi en veut plus. Je veux connaître le plaisir, je veux baiser, baiser avec mon beau-fils…
    
    (Arthur)-Arthur ! Il est tard. Va te coucher. Je te montre ta chambre, tu vas prendre celle de ma fille qui désormais a quitté le nid. Suis-moi, on va préparer ton lit. Dit-elle avec un petit sourire plein de promesses.
    
    Elle est déjà sur pieds. Je la suis un peu trop précipitamment et bute sur une marche de l’escalier.
    
    Pour ralentir ma chute, je projette mes mains sur le devant et m’agrippe à ce que je trouve. Et ce que je trouve, c’est le beau popotin de ma tante, tellement agréable au toucher. Dans le mouvement, sa jupe se relève et j’ai une vue plongeante sur sa petite culotte de dentelle affriolante.
    
    L’instant est fugace mais je perds tout contrôle, après l’échauffement de mes sens par ses trois femmes. Je glisse ma main droite sous sa jupe jusqu’à toucher son pubis qui est humide. La scène de tout à l’heure l’a chauffée, elle aussi. Je l’entends gémir, puis me susurrer : - Veux-tu bien enlever ta main, petit coquin ! Ambre et ta mère ne t’ont pas suffit pour aujourd’hui ?
    
    Et elle monte prestement les dernières marches. Ma tante porte un chemisier en soie assez transparent, je vois les bretelles de son soutien gorge blanc à travers le tissu et sa petite jupe est si courte ...