1. Le réveil d'un autiste: Les stagiaires de Narcisse. 3


    Datte: 22/07/2024, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Mlkjhg39, Source: Hds

    ... Kenza, facilitant ainsi la pénétration par une traction inexorable.
    
    Il pousse toujours, enfiché qu’il est dans son anus. Comment un petit cul comme le sien peut-il absorber un tel morceau ? Et ce n’est toujours pas fini, il en reste encore quelques centimètres en dehors. Comme Kenza commence à geindre, douleur ? Plaisir ? Il s’enquière de son avis : ¬
    
    -Ça va toujours ? ¬Tu veux que j’arrête ?
    
    -Non, bien sûr… Mais tu es tellement énorme que je me demande si mon cul va pouvoir tout absorber ce que tu me proposes… ¬ J’espère que tu vas me faire du bien.
    
    -Ne te fais pas de soucis, dans ce trou, il n’y a pas de limite. ¬c’est bientôt fini.
    
    Pour détourner son attention, il met sa main sur son clitoris, le caresse tellement bien qu'il arrive à la faire jouir, du cul ou de la chatte.
    
    Je me masturbe devant un tel spectacle, je suis bientôt prêt à éjaculer car ma femme, ne sachant plus que faire, glisse pour m'aider une main sur mes couilles et me les caresse savamment. Je m'approche de la jouissance. Virginie, elle-même prête à jouir, prend ma tête contre ses seins et s’empale sur ma queue tendue à tout rompre, accentue très vite la cadence de ses mouvements, me faisant comprendre qu’elle veut que j’éjacule en elle. Ce qui ne tarde pas à arriver, totalement fascinée par le spectacle de cette bite gigantesque qui a complètement disparu entre les fesses de Kenza.
    
    Virginie me pompe avec vigueur et je sens que je ne pourrai bientôt plus me retenir. J'éjacule soudain ...
    ... de grands jets de sperme qui à coup sûr ont dû arriver directement dans ses ovaires. J’exagère… En réalité, je ne lâche que quelques gouttes…Mais faut bien rêver, non ?
    
    Nous nous détendons enfin, profitant du spectacle. Narcisse ne la ménage pas et plusieurs fois, la chatte de Kenza coule comme une fontaine. Lui n’a toujours pas joui, il décule, tourne la tête vers ma femme et ne lui dit que deux mots :
    
    -A toi !
    
    Je lui ai bien graisser le fion, en prévision de ce qui l’attendait, écartant son trou avec mes doigts afin de faire de la place au défonce-cul. Il l’attire à elle, se rapproche, gland contre anneau fripé. Je la trouve bien obéissante. Après tout, elle n’a pas refusé la sodomie. La main de mon épouse presse la queue tordue. Elle pose l’extrémité du gland sur sa rosette. Je la conseille : ¬
    
    -Quand tu sens que ça force un peu, pousse comme si tu allais à la selle, ça facilitera la chose.
    
    -Je voudrais bien te voir à ma place, me coupe-t-elle, oh mon Dieu ! Sentant la chaleur de la queue pressée contre son anneau.
    
    Mais la lubrification aidant et mes préliminaires, l’obélisque glisse en elle et entre sans coup-férir sous les cris de Virginie.
    
    - Non-pitié ! Je ne peux pas, comment supporter ça ! J’ai trop mal. Ne va pas plus loin, je t’en supplie !
    
    -Mais de quoi tu parles Virginie ? Il est déjà fiché jusqu’aux couilles dans ton fondement ! Je l’informe.
    
    Narcisse la « travaille » comme si ça ne faisait que quelques minutes qu’il les tringlait. Il a ...