1. Dimanche 17 juin 1986 – Matilde


    Datte: 21/07/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Maceran, Source: Hds

    Après le petit déjeuner, alors que nous étions au lit en train de nous des câlineries, le téléphone sonna. Surprise. Matilde réagit rapidement et sortant du lit dans le plus simple appareil, elle décrocha l’appareil et un doigt sur les lèvres me fit signe de me taire. C’est à sa première phrase que je réalisais que c’était son mari qui appelait. Si Matilde faisait attention à sa conversation, elle ne faisait pas attention à sa tenue, enfin, je crois, le téléphone à la main, elle s’était assise sur le petit bureau un pied sur la chaise, l’autre à terre position agréable à voir.
    
    « Oui, … je l’ai vu hier soir, … oui, il m’a invité à diner, … naturellement, nous avons parlé de toi, et il m’a dit de te transmettre ses amitiés, … » Et la conversation se poursuivant, je me levais sans bruit et m’approchais de Matilde, assez prêt pour qu’elle ne pousse pas un cri de surprise et doucement, je posais ma main sur sa cuisse, aussitôt elle posa la sienne sur la mienne, semblant vouloir me retenir, mais j’étais bien décidé à aller au-delà et je continuais ma progression vers le haut de la cuisse. Tout à sa conversation, elle ne pouvait pas faire grand-chose sans se trahir, je continuais à progresser et me tenant toujours la main j’arrivais à sa fourrure, que je caressais doucement et aussi doucement j’écartais la chaise de façon à augmenter le compas de ses cuisses, elle ne put pas résister, longtemps à cet écart, à cette ouverture sur son minou. Alors que la conversation se ...
    ... prolongeait, et j’eus comme impression, impression peut être fausse, que Matilde la prolongeait volontairement. Enfin je posais ma main sur sa chatte, et là, elle repoussa la chaise et posant ses deux pieds au sol s’appuya sur la table, ses cuisses s’étaient légèrement écartées, mais, … là, un doigt curieux parcourut le passage d’entre ses grosses lèvres la petite raie humide, très humide, y avait-il une corrélation entre le coup téléphone à son mari et la caresse que je lui pratiquais pour un tel résultat. Le compas de ses cuisses s’était largement ouvert, et la tentation était trop grande, je posais mes lèvres sur les siennes, enfin celles du bas, il y eut une espèce de mouvement et s’assit un peu plus sur la table et j’entendis : « Non, ne t’inquiète pas, … oui, j’ai failli glisser, … oui, … d’accord, … oui je t’embrasse, … » et elle raccrocha alors que, assis sur la chaise abandonnée, j’étais bien entre ses cuisses à lui lécher la chatte. Elle posa sa main sur ma tête en appuyant : « Horrible monstre, … tu es complétement fou, … j’espère qu’il n’a rien soupçonné, …OH, … continues, … oui, … viens, … je suis excitée, … tu m’as excitée, … je suis toute chaude de partout, … viens, … »Moi : « Je suis certainement un monstre, …. mais tu aimes qu’il s’occupe de toi, … j’oserais dire que tu as tout fait pour que je continue, …tu sais ce que tu es, … »Matilde : « Oui, … une salope, … une garce, … au choix, … » et se laissant glisser de la table elle aperçut mon engin qui se dressait ...
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