Mon cadeau d'anniv' (3) - Histoires de Sexe

Mon cadeau d'anniv' (3)

... maintenant est le sujet de tout mes fantasmes incestueux. Cette fille que je considérais comme une ado toute timide il y a peux, est à ma merci. Ma queue à l’intérieure d’elle, j’ai l’impression de pouvoir faire ce que je veux. Ce sentiment de domination ne fait que renforcer la dureté de ma verge insérée au fond de son antre intime.

J’arrivais à bout de mon embrasement :

— Tu veux gouter à mon jus Nina ? C’est à ton tour, lui fit-je toujours en la pilonnant

— Oui, Luc, donne moi ton jus s’il te plait !

— Tu m’excites tellement, je vais tout décharger sur toi

— Vas y mon frère, tu peux éjaculer sur ta petite sœur, je sais que tu n’attends que ça.

Je me retirais de son fourreau trempé et me plaça au dessus de la poitrine de Nina. Je pris ma queue dans la main pour me terminer.

— Mmm, oui frangin, lâche tout sur moi, j’ai trop envie de voir ton sperme sur moi, approche !

Je posais ma queue sur son visage d’ange et envoya une giclée sur sa joue et sur son nez, la deuxième atterrissait sur sa bouche entrouverte. Je me reculais pour déposer le reste de ma semence sur un ...

... de ses seins. J’abandonnais les quelques gouttes sur son téton encore durci, tandis que Nina récupérait avec sa langue le jus tout chaud posé sur ses lèvres et essayait tant bien que mal de recueillir ce qui avait coulé sur son visage. Elle portait ses doigts pleins de sperme à sa bouche et se délectait enfin de ce breuvage tant attendu.

— Tu as bon goût aussi, mon frère, me dit elle avec un sourire évoquant une certaine satisfaction

— Merci petite sœur, j’ai jamais joui avec autant d’excitation, et te voir lécher mon jus c’est juste fantastique. Je savais pas que t’aimais le sperme à ce point là.

— Oui mais tu sais…J’aimerais bien gouter à autre chose aussi…

— C’est à dire ?

— Ben quand j’ai senti les culottes que tu prenais à maman, je crois que ça m’a plus. J’aimerais bien gouter à sa mouille

— Ah oui ? J’y ai un peu gouté moi, tu sais.

— Ah bon ?

— Elle en a mis juste un peu sur ses doigts que j’ai sucés. Ca avait bon goût.

— J’aimerais bien qu’elle me fasse gouter aussi, mais je sais pas comment faire, c’est délicat

— T’inquiète pas ma sœur, on va trouver.