Fin de galère ?
Datte: 20/07/2024,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
caresses,
Oral
pénétratio,
fsodo,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... en descendant.
— Ah, je suis épuisée… Une circulation de folie… et en plus ma clim est en panne, fait chier… Tu permets que je prenne une douche ? J’suis désolée.
— Bien sûr, je vais te frotter si tu veux.
— Oh oui, tous les deux sous l’eau fraîche, tes mains sur moi, dans mon dos, je suis moulue.
Elle se mouille avec satisfaction, il la savonne, elle lui offre son dos, il la masse. Le trapèze d’abord, puis tous les points durs de chaque côté de sa colonne vertébrale.
— Aaaahhh que c’est bon ! Elles sont magiques tes mains… mais comment trouves-tu aussi exactement les points où ça fait mal ?
— Tourne-toi… viens contre moi… tes bras autour de mon cou et laisse-toi aller… là…
— Oh que ça fait du bien…
— Mais dis-moi, tu as rasé ta toison ? Un amant breton ?
— Ha ha ! Même pas. J’ai commencé les vacances avec une belle infection vaginale. Mal au ventre, pertes douteuses. Je suis allée voir mon vieux docteur, celui qui m’a mise au monde à la maison, comme une grande, pressée d’arriver. Il m’a dit : « toi, tu as trouvé un camarade de jeux ! – oui, pourquoi ? – et vous avez fait des folies ! – un peu, oui – alors ne cherche pas, tu as des bactéries dans le vagin qui ne devraient pas y être mais qui devraient rester dans ton trou de balle ! » Alors il m’a filé des ovules à mettre deux fois par jour, et au bout de dix jours c’était fini. Mais il m’a dit de me raser pour que les poils ne re– contaminent pas, ne jamais passer d’un trou à l’autre et même pour toi, il ...
... faut mettre des capotes pour la sodomie, sinon tu risques l’infection urinaire. Il m’a même donné une boîte d’échantillons. Voilà, tu sais tout. Mais entre ça et mes règles, je n’ai pas réussi à trouver le temps de te tromper.
Il croise ses doigts et applique les malléoles de ses mains sur les endroits douloureux du dos en remontant lentement. Par deux fois, les vertèbres craquent. Puis il se cambre et la décolle de terre en l’étirant, à nouveau gros craquement.
— Ahhhh ! Mais tu peux t’installer comme kiné, c’est fantastique ce que ça fait du bien !
— Tu crois que je banderais autant pour toutes mes patientes ?
— Hum… je garde ça pour la bonne bouche, tout à l’heure.
— Tu as bronzé, tu es magnifique. Dommage, ça fait deux marques…
— Bah oui, le maillot pour la plage et celui pour garder les vaches. Je t’expliquerai. On va dîner ? J’ai presque faim… Oh, je t’ai rapporté des choses. Je peux mettre ton peignoir ? J’y vais…
Elle ramène un carton de diverses denrées de la ferme, deux artichauts, deux choux-fleurs, des bocaux de pâtés, rillettes et autres cochonnailles, une grosse boîte de galettes bretonnes et une bouteille de whisky breton.
— Je ne sais pas ce que ça vaut, tu vas me dire.
— Moi qui suis… qui étais grand amateur de whisky, je vais te dire ça de suite. Alors comme ça tu as gardé les vaches ?
— Ben oui, je fais ça depuis toute petite et ça me plaît toujours autant. Un bon bouquin, l’ombre d’un arbre et mon esprit divague. Tout le monde me fiche la ...