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La Prisonnière du Cartel Ch. 01
Datte: 20/07/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byAlexandre1965, Source: Literotica
... pantalon et lui demandait de me sucer. La petite avait de l'expérience. Moi : « Tu fais ça bien! » Je devinais qu'elle voulait en finir vite et pourtant. Moi : « Relève toi! Et penche toi sur le brancard! » Je venais d'enlever le drap qui couvrait Maria. Je poussais Hilda et la courbait au dessus du corps de Maria. Hilda : « Non, c'est pas bien! » Hilda était penché sur le ventre de Maria. La petite croupe de Hilda n'attendant que ma bite et le tableau était des plus pervers. Moi : « Je te laisse le choix...la chatte ou ton cul » Hilda : « Par pitié, pas...les fesses! » Moi : « Bien, goutons ta chatte » J'étais tellement dur quand j'entrais facilement. Hilda sanglotait. J'en profitait pour peloter la poitrine de Maria puis, très excité. Moi : « Tu aimes?... » Elle ne répondait pas pas Moi : « c'est mieux qu'avec ton pédé de mari, non?...dis moi que tu aimes! » Je lui tirais les cheveux. Hilda se résolu : « Oui, j'aime ça!!!! » Moi : « Cette pauvre Maria a beaucoup souffert. Que des bites d'hommes...si tu lui faisais une douceur? » Je ...
... pris la tête de Hilda et l'obligea a poser ses lèvres sur la chatte de Maria. Hilda : « Non, pas ça!!!! » Moi : « Je peux être très méchant tu sais . Suce sa chatte!!! » Hilda finit par se pencher sur la chatte de Maria, pendant que je la besognais. Elle ne pouvait faire semblant car mon angle de vue me permettait de voir si sa langue faisait son travail. La scène était des plus excitantes. Moi : « As tu déjà léché une femme? » Hilda (dégoûté) : « Non... » Moi: « Continue!, tu fais ça très bien!. Je suis sur qu'elle doit apprécier dans son sommeil. Une langue dans son minou. Tu es infirmière. Tu dois faire du bien. Enfonce ta langue. Ecarte lui les lèvres... » On entendit Maria gémir. Je me mis alors a inonder le fond du con d'Hilda, qui de débattait, sans doute par crainte d'être enceinte. Je finis par me retirer, fourbu. Hilda se redressa lentement, et pleurait. Elle s'habilla et n'osait pas regarder Maria dont les cuisses étaient écartés. L'ambulance arriva à l'hôpital. Je fis un sourire à Hilda. Moi : ' N'oublies pas de la couvrir...et de la câliner! »