1. Cap ou pas cap ? (2ème partie)


    Datte: 18/07/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Couple-subtil, Source: Hds

    Elle aurait dû se rendre compte que la suite des opérations ne pouvait passer que par son partage. Avec un prédateur sexuel comme Christian cela n’allait pas être le grand amour. « Oui c’est une belle femelle aux seins lourds, grande, un "bel objet de plaisir" que je vous amène. » Comme dans un rêve il l’entendait la présenter comme cela au téléphone, les deux mains sur le volant de sa Porsche. Si imposant. « Oui elle m’écoute. Je te décris bien ? » Elle regardait devant elle la route défiler. Comme un lapin pris dans les phares elle se disait qu’il fallait qu’elle lui dise d’aller se faire voir, mais elle n’y arrivait pas.
    
    Voilà comment ils étaient arrivés dans la belle propriété d’un certain Vincent, à Agde. La cinquantaine. Beau mec. Vincent avait même dû être très beau. Le sourire engageant il lui présenta ses amis, Jean-Seb – ce devait être un Jean-Sébastien -, et Lila, une petite brune au très joli visage dont la présence avait tout de suite déplu à Chrystèle, qui essaya un : « Je suis désolée je crois que je vais y aller. Je ne me sens pas bien. » Christian lui avait alors pincé les seins, pour la « rappeler à ses devoirs » : « Tu dis oui à tout ce que propose. Oui maître. C’est tout ce que je t’autorise à dire ». A cet instant elle s’était bin sentie l’esclave de Vincent. C'est vrai qu'il la faisait jouir comme rarement elle avait joui. Elle s'était sentie tout de suite sentie fondre devant sa carrure de boxer. Ses grandes mains. Sa certitude facile que les femmes ...
    ... étaient à ses pieds.
    
    « Oui maître. » Il lui palpa sa lourde poitrine, propriétaire : « Vous vous en servirez aussi », indiqua-t-il à ses amis. « Sers-nous à boire. Mais avant enlève ta robe. » Chrystèle obéit, mettant juste une paire de chaussures noires que lui donna Christian et qui mettait en valeurs « Superbe », dit Vincent en promenant ses mains sur ses fesses et en effleurant son sexe épilé.
    
    « Oui mais pas on ne la touche pas tant que je ne vous en donnerai pas l’autorisation », rappela Christian. « Elle va d'abord nous servir à boire. Comme la soubrette docile qu’elle est.
    
    - Oui maître. » Chrystèle se prenait au jeu. Etre nue devant ces trois hommes, tous habillés, et cette femme si belle, qui la fixaient comme devant une proie, était l’une des expériences les plus excitantes qu’il lui ait été donné de vivre. Elle se sentait littéralement ruisseler et espérait que cela ne se voyait pas.
    
    Elle leur servit donc du champagne, un excellent Bollinger, s’appliquant à faire ressortir sa poitrine, tout en regardant plus longuement les « invité ». Vincent était, sûr de lui et de son humour. Jean-Séb était imposant, un grand Noir pas très bavard qui ne semblait n'être là que pour le moment où il la prendrait enfin. Et Lila qui la regardait, ironique. Chrystèle se demandait de qui elle était la maîtresse. Elle espérait que ce n’était pas de Christian, qui demanda soudain : « Vous connaissez la spécialité de Chrystèle ? Elle va nous le dire. Hein Chrystèle ? Elle fait ...
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