1. Initiation commune


    Datte: 16/07/2019, Catégories: Hardcore, Lesbienne Auteur: NathanPortman, Source: xHamster

    C’était une copine de ma sœur. Elle venait parfois chez nous et elle me plaisait mais j’étais trop timide pour lui parler. Elle était assez jolie mais ce que me plaisait le plus, c’était sa grosse paire de seins. Pour moi, ils étaient énormes. Un jour qu’elle était chez nous et que je la regardais, elle s’en était aperçu et elle m’avait demandé ce que je regarde. Si j’avais pu, j’aurais disparu dans le sol tellement j’avais honte qu’elle ait pu remarquer que je regardais ses seins.
    
    Anita s’était approché de moi et elle m’avait demandé s’ils me plaisent puis elle m’avait demandé si je veux les toucher. Elle m’avait pris la main droite et elle l’avait plaqué sur un sein et ça m’avait fait réagir. Quand elle m’avait demandé si ça me fait bander, j’avais rougi comme une tomate.
    
    - Tu es timide, avait ajouté Anita ? Si tu peux sortir le soir, je t’attendrai devant la gare !
    
    Je n’avais pas l’habitude de sortir mais ce soir-là, je suis sorti en disant à ma famille que je vais voir des potes à moi. Anita m’attendait devant la gare. Elle m’a embrassé sur la joue et elle m’a dit qu’elle n’est qu’une fille, pas un ogre et elle a ajouté qu’elle ne va pas me manger. Elle était si naturelle. On a marché le long du canal.
    
    - C’est normal que tu aimes les seins, m’a encore dit la fille ! Si les filles en ont, ce n’est pas que pour nourrir les bébés ! Il faut bien faire plaisir au papa ! Tu as peur de moi, avait-elle ajouté ? Reste à côté de moi !
    
    Elle m’a tiré par le coude et ...
    ... elle m’a embrassé sur la joue.
    
    - Tu n’es pas content d’être avec moi, avait-elle ajouté ? Tu peux toucher et je n’irai pas me plaindre !
    
    Il y avait un muret près du canal et on s’y est arrêté puis Anita m’a encore sollicité.
    
    - Qu’est-ce que tu veux toucher, m’a-t-elle demandé ? Les seins ?
    
    J’ai touché ses seins et j’ai bafouillé qu’elle n’a pas de soutien-gorge. Sa poitrine était ferme et douce à la fois et j’ai écrasé les seins l’un contre l’autre et je les laissais respirer avant de recommencer. Avec la respiration d’Anita, ils bougeaient tout seul.
    
    - Tu fais du combien, ai-je encore batouillé ?
    
    - Ah, les bonnets ? Regarde et dis-moi ! Je verrais si tu t’y connais vraiment !
    
    J’ai soulevé son T-shirt et j’ai vu ses seins. C’était deux grosses boules et ses aréoles, on aurait dit deux moitiés de citron.
    
    - Alors, combien, m’a demandé Anita ?
    
    - C ?
    
    Elle s’est mise à rire puis elle m’a corrigé : F !
    
    - F, c’est beaucoup, lui ai-je demandé ?
    
    - Qu’est-ce que tu crois, m’a répondu Anita ? J’ai des gros nichons ! Embrasse-les !
    
    Elle a posé sa main derrière mon cou et je n’ai pas pu faire autrement que d’embrasser ses mamelons. Je n’avais jamais rien connu d’aussi agréable mais au bout d’un moment, la fille m’a dit qu’on ne va pas passer toute la nuit sur ses seins et je me suis reculé.
    
    Au bout d’un moment, elle m’a demandé s’il n’y a rien d’autre que j’aimerai voir. Bien sûr que je voulais voir le reste mais j’étais paralysé. J’en avais tant vu ...
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