1. LE DOSSIER


    Datte: 16/07/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Poesexe, Source: Hds

    ... mien.
    
    Son peignoir s’était écarté, et j’avais une vue sur ses cuisses dénudées. Elle croisa ses jambes et j’aperçus une culotte en soie noire.
    
    Tentant de réprimer le début d’érection qui se manifestait, je piquai du nez dans mon café.
    
    Cherchant une diversion, je me rappelai que j’étais là pour un motif précis, et je décidai de sortir de mon attache-case, les documents, je me penchais pour les récupérer, mais en me relevant, je me retrouvais face à ses cuisses légèrement écartées, que je ne pus éviter de mater quelques secondes, pas très discrètement.
    
    Me reprenant je déposais les papiers entre-nous, sur l’ilot
    
    « Il faut s’y mettre » commentai-je « si on veut être prèts Lundi »
    
    Elle repoussa les documents
    
    « Le client m’ a appelée ce matin. La réunion est repoussée d’une semaine. J’aurais tout le temps d’étudier tout ça plus tard. »
    
    Etonné, je compris alors que je m’étais levé pour rien. Elle dut le voir sur ma figure, car elle ajouta
    
    « je suis désolée de vous avoir fait lever si tôt. Peut-être puis-je me faire pardonner » murmura t’elle en se penchant vers moi pour déposer un baiser sur mes lèvres.
    
    Ma main partit aussitôt sur sa nuque et je la maintins contre moi. Loin de me résister, elle ouvrit ses lèvres pour répondre à mon baiser.
    
    Mes mains partirent à l’exploration de sa fabuleuse poitrine, écratent, au passage le peignoir. Ses seins étaient durs comme de la pierre et ses tétons se dressèrent sous mes doigts
    
    Elle descendit de son ...
    ... tabouret, et s’écarta de moi
    
    « Non, ça va trop loin » dit elle
    
    « On est déjà allé trop loin » dis-je, pas dupe
    
    Cette fois je m’avançai et dénouai la ceinture de son peignoir qui glissa à terre dans un doux froissement. Son corps sculptural, était quasi nu devant moi. Elle recula d’un pas, plaquant ses mains sur ses seins.
    
    « je suis venu de loin, ce matin » dis-je « j’ai envie de vous voir nue »
    
    Elle sembla hésiter quelques secondes, puis, me défiant du regard, elle fit glisser son string noir le long de ses jambes, dévoilant un pubis légèrement renflé, aux lèvres bien visibles sous un duvet blond minimaliste. Le string sur ses chevilles, elle leva un pied pour se dégager, et, de l’autre, envoya le bout de tissu à plusieurs mêtres.
    
    « Satisfait ? »
    
    « Et toi ? » lançai-je en adoptant un tutoiement plus propice au rapprochement.
    
    Je la saisis par la taille et l’assis sur l’ilot, en profitant pour me glisser entre ses cuisses. Puis je commençai à la caresser, suçant et malmenant ses seins, lui arrachant de petits cris, à chaque fois que je mordillais les pointes gonflées comme des framboises. Je descendis vers son nombril que j’agaçai du bout de la langue, la faisant frissonner, avant de m’aventurer plus bas, en l’allongeant sur le dos. Un léger duvet blond ne masquait pas la longue fente de sa chatte dont les lêvres s’ouvrirent sous ma langue, dévoilant une fleur rose vif déjà humide. D’une pointe agile, j’en séparais les bords en remontant progressivement ...