1. Première expérience à trois (suite et fin)


    Datte: 16/07/2019, Catégories: fhh, hbi, extraoffre, inconnu, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, Oral préservati, pénétratio, hdanus, hsodo, uro, init, couplea3, Auteur: Timide99, Source: Revebebe

    Elle s’est humectée les doigts, les a sucés un à un, les parcourant de sa langue, les faisant disparaître dans sa bouche comme s’il s’agissait de petits pénis. Elle s’est saisie de la capote et avec une adresse de prestidigitateur – un, deux, trois, disparu, il est où le lapin blanc ? -, elle l’a roulée en boule au creux de sa main et l’a faite disparaître sous l’oreiller. Témoin de ce tour de passe-passe, mon sexe a légèrement tressauté puis il s’est immobilisé, satisfait de retrouver l’air libre. L’orifice était dilaté, comme s’il voulait aspirer une grande goulée d’air frais. J’étais très excité.
    
    Elle a arrondi la paume de sa main et l’a mise en coupole sur le haut de mon sexe. Puis, sans l’empoigner, plutôt en l’effleurant, elle l’a caressé de haut en bas, touchant le pubis puis remontant à l’assaut du gland. Elle a continué ainsi quelques minutes, c’était agréable et agaçant à la fois, j’aurais aimé qu’elle l’agrippe et me branle franchement pour faire disparaître cette tension qui devenait presque douloureuse. Je me tortillais sur le lit, je donnais des coups de reins, j’appelais une caresse plus énergique. N’y tenant plus, j’ai saisi sa main dans la mienne, je l’ai fortement serrée autour de mon manche et j’ai entamé des va-et-vient.
    
    — Chut, c’est moi, a-t-elle dit.
    
    Se redressant, elle a saisi le verre de whisky abandonné sur la table de nuit. Il restait quelques gouttes d’alcool, elle s’en est badigeonné la paume qu’elle a reposée sur mon gland. Très ...
    ... vite, j’ai ressenti une vive brûlure. Comme si mon gland avait trempé dans un pot de piment. L’onde de chaleur s’est vite propagée le long de mon sexe, m’a irradié tout le bas-ventre et m’est rapidement montée aux joues. Je devais avoir une drôle de couleur, car elle a demandé si je me sentais bien.
    
    — Tu n’as pas de la glace ? ai-je plaisanté.
    
    Elle s’est assise en tailleur à hauteur de mes genoux. Je ne pus m’empêcher de la détailler, m’extasiant devant ce visage qu’illuminait un sourire coquin, m’amusant de ce petit nez en trompette et des quelques taches de rousseur qui parsemaient ses joues. Mon regard est passé rapidement sur sa poitrine, autour de son nombril et sur ses hanches. Il s’est attardé, sans que je l’aie vraiment voulu, sur son sexe. Il était demeuré entrouvert, les poils ébouriffés rendus collants par ses secrétions, ma salive et aussi, même si je m’efforçai de ne pas trop y penser, par le sperme de Samuel. Idiotement, je me suis rappelé qu’elle ne s’était pas essuyée après l’éjaculation de son ami, il devait y avoir une grande auréole sur les draps. Je me suis promis de ne pas trop bouger et de rester de mon côté du lit.
    
    Elle a fait couler un peu de salive dans le creux de ses mains et m’a agrippé le sexe encore brûlant. Consciente que la tension était devenue trop grande, qu’elle m’occasionnait plus de gêne que de plaisir et qu’il était grand temps de la soulager, elle m’a branlé avec énergie. Ses doigts pressaient fortement ma bite, la cadence était ...
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