Harness
Datte: 15/07/2024,
Catégories:
f,
fh,
ff,
fhh,
ffh,
grp,
inconnu,
taille,
handicap,
laid(e)s,
danser,
amour,
caresses,
Oral
pénétratio,
échange,
Partouze / Groupe
rencontre,
Auteur: Olaf, Source: Revebebe
... nuit.
J’essaie de me concentrer sur ma conduite, mais une fois son strip-tease terminé, elle se jette sur ma queue avec une maîtrise fulgurante de la fellation. Elle ne s’interrompt que pour reprendre brièvement son souffle ou m’indiquer en quelques mots la direction à suivre. Le reste du temps, kilomètre après kilomètre, elle me torture avec un entrain irrésistible.
Après plus d’un quart d’heure de ce traitement, je renonce à résister. Nous sommes arrivés à la sortie de l’autoroute. Qu’elle fasse de ma virilité ce que bon lui semble.
Elle s’active et m’achève dans la dernière ligne droite avant son domicile en parcourant ma queue de ses doigts légers, comme si elle déchiffrait mon excitation écrite en braille sur la hampe. Je craque et gicle entre ses lèvres, qu’elle garde serrées autour de mon vit palpitant et jutant abondamment. Exactement ce qu’elle avait décrit pendant que nous dansions.
— Ah, putain, merci ! J’en rêvais depuis le début du repas, avoue-t-elle lorsque j’ai fini de m’épancher dans sa bouche. Maintenant, lèche ma chatte, je suis à deux doigts de jouir, implore-t-elle au moment où je serre le frein à main.
— Deux doigts ? Tu avais dit seulement la langue…
Elle m’impose le silence en pressant ma tête contre sa vulve béante et trempée. Je m’active entre ses cuisses jusqu’à ce qu’elle se laisse aller. Des jets chauds et épicés inondent mon visage et ma barbe pendant qu’elle profère de formidables insanités. Son vocabulaire imagé bouscule ...
... les défenses que des années de bonne éducation ont érigées en moi. Ses mots fous excitent mon cerveau reptilien. Je me remets à bander, prêt à embrocher cette femelle impatiente qui s’offre à moi entre le siège du conducteur et celui de la passagère.
Quelques minutes plus tard, les gémissements du chien, qui demande à sortir de la voiture, nous remettent les pieds sur terre. Récupérant à la va-vite ses habits et son sac à main, elle sort du carrosse à moitié nue et se dirige sans hâte vers la porte de son domicile. Le balancement de ses hanches me laisse supposer qu’elle attend encore beaucoup plus de moi. Je ne doute pas que son enthousiasme et son appétit sensuel sauront me garder en forme aussi longtemps qu’elle désirera faire durer nos jeux.
En fait, comme j’aurais dû m’y attendre avec une diablesse de ce type, rien ne se passe comme supposé. Sitôt refermée la porte de son appartement, toujours à moitié à poil, elle se pend tendrement à mon cou et me demande si je connais le clubHarness.
— Non, désolé, je devrais ?
— C’est un club assez fermé, réservé à des personnes en situation de handicap, comme on dit pudiquement. En fait, c’est là que nous, les anormaux, les pas beaux, les celles qu’aucun mec ne veut baiser, nous partageons des moments de délire érotique et sexuel.
— OK, je pige, mais c’est donc un endroit où je ne suis ni désiré, ni surtout admis.
— Au contraire, la plupart d’entre nous a besoin d’un accompagnement. D’où le jeu de mots avec le nom du ...