Cours à domicile
Datte: 14/07/2024,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
extracon,
profélève,
fsoumise,
Oral
pénétratio,
attache,
baillon,
fouetfesse,
prof,
dominatio,
Auteur: Blacksad22_, Source: Revebebe
... conquête pour lui. Combien avaient été sur ce bureau ? Combien avaient mordu ce bâillon ? Peu importe, je le voulais, lui.
— Et votre petit-ami, mademoiselle Favier, vous a-t-il déjà vu dans une situation similaire ?
Je secouai la tête. Jamais je n’aurais pu imaginer être comme j’étais aujourd’hui. Jamais. Il m’asséna une deuxième claque.
— Il manque quelque chose. Vous comble-t-il mieux que moi ?
Je secouai à nouveau la tête. Impossible. Impossible de me combler de ce besoin animal que j’avais pour cet homme. Il sourit en me regardant. Il me retira la boule de la bouche, en la tirant juste pour qu’elle me libère.
— Dites-moi qui vous satisfait le mieux.
— C’est vous, monsieur !
Je m’étais écrié d’un coup, sans pouvoir plus me retenir. Il jouait avec moi, juste pour son plaisir narcissique. Mais je ne pouvais pas faire autrement. Il me remit mon bâillon en appuyant un peu.
— Bien. Mademoiselle Favier, je vais vous baiser. De toutes mes forces. Vous êtes une élève exemplaire, je me dois de vous récompenser.
Enfin. Enfin, j’allais le sentir en moi. Mon sexe dégoulinait presque pour lui, pour que je puisse le prendre en moi. Je tremblais de l’attente, si longue, que j’avais enduré. Enfin, j’allais avoir ce pour quoi j’étais venue.
Je sentis sa main se refermer sur mes cheveux, laissant les sangles glisser en dessous, lui permettant de m’agripper en queue de cheval. Il me tirait un peu à lui.
Et enfin, je le sentis contre moi. Son gland caressait ...
... mon sexe, prêt à me pénétrer. Et il le fit. Il glissa en moi, sans peine, entièrement. Mon gémissement fut étouffé par mon bâillon, mais il fut bruyant tout de même. Une fois en moi, il commença les coups de reins, glissant dans ma chatte, me faisant crier et trembler à chaque coup.
Ce manège dura une éternité, mais il aurait pu durer d’autant plus. Ses mains me serraient tantôt les cheveux et la gorge, tantôt les seins. Il me tenait en lui.
Puis il se retira, me libéra la bouche, et me souleva rapidement pour me plaquer, dos au mur, et m’embrasser passionnément. Je ne comprenais plus ce que je ressentais. C’était tellement d’un coup que mon cerveau et mon corps ne suivaient pas.
Il me souleva, pour que je puisse enrouler mes jambes autour de lui, et se replaça en moi. Cette fois-ci, c’était moi qui m’empalais toute seule sur lui. Mes jambes et mes bras autour de lui, je profitais de mon poids plume pour monter et descendre sur son sexe.
Et je jouis. Je sentis d’un coup tout mon corps se contracter, et une vague de chaleur m’envahir. Je criais, cherchant mon souffle en même temps. Il savait que j’étais en train de jouir, et il continuait ses mouvements, en gémissant lui aussi.
Je revins à terre, tremblante, pour tomber à genoux immédiatement. Je venais de vivre l’orgasme le plus intense de ma vie, je voulais qu’il vive la même chose.
Je m’allongeai au sol, jambes écartées à ses pieds.
— Je veux vous sentir jouir en moi, monsieur.
Il se baissa, sans rien ...