Lila
Datte: 12/07/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byMle_Lila, Source: Literotica
... hommes sur le canapé en train de boire des bières. En voyant le nombre de canettes vides, je me rappelle m'être dit qu'ils devaient être bien ivres.
C'est alors que le sadique me regarda et dit :
- Elle est réveillée la salope, nous allons pouvoir encore nous amuser. Je veux voir si je peux lui rentrer une canette dans le cul ! Pousse-toi Pierrot.
Mon copain s'écarta et c'est à ce moment-là que je compris que je ne pouvais pas compter sur lui, lui faire confiance. Il m'avait vendu à ces hommes.
Alors que l'homme sadique s'approchait de moi une canette à la main la bite dressée devant lui, je repris des forces et je décidai de me battre. Je n'aurais peut-être pas dû. Quoi qu'il en soit je lui mis par surprise un grand coup de pied dans son membre dressé. Son visage se déforma en une grimace de douleur, il laissa tomber la canette et il prit son sexe entre ses mains en s'écroulant dans un grand cri.
- OH PUTAIN LA SALOPE !!!!!! CHOPEZ-LA !
Je voulus courir vers la porte, mais je fus rapidement rattrapée par les deux autres hommes qui commencèrent à m'envoyer de grandes baffes. Enivrés, ils n'avaient plus aucune pitié, ils me frappèrent alors que j'étais deux fois plus petite qu'eux.
- LAISSEZ-LA MOI ! JE VAIS LA FAIRE JOUIR CETTE SALOPE ! Entendis-je crier.
Les hommes me lâchèrent et je tombai par terre. Le sadique se tenait au-dessus de moi, la ceinture à la main le visage encore grimaçant de douleur, sa bite toute ratatinée. Et les coups commencèrent ...
... à pleuvoir. Je me rappelle m'être encore demandée où pouvait être Pierre et l'avoir appelé au secours. Mais il n'est pas venu.
L'homme s'acharna sur moi avec sa ceinture, puis ce fut des coups de pieds violents au ventre, aux cuisses, partout. J'essayai de me ratatiner sur moi-même, la tête rentrée entre mes coudes. La violence des coups était inimaginable, mais je ne les sentais plus tellement mon corps était douloureux. C'est là que je me suis dit que ma vie allait se terminer ainsi, qu'ils allaient me tuer. Puis je sombrai dans le noir. Je me réveillai alors que l'on caressait doucement mes cheveux. J'avais mal partout, c'était horrible. Mais cette douce caresse avec une voix chargée de chagrin qui se lamentait « oh ma pauvre fille, je suis désolé... je suis une mauvaise mère... J'aurai dû faire plus attention à toi... me pardonneras-tu un jour... » me calma.
Pendant quelques jours j'alternai entre sommeil et conscience. Plus tard, je sus que ma mère était restée constamment avec moi, me surveillant, me parlant, s'occupant avec amour de moi.
J'étais à l'hôpital, un conducteur m'avait trouvé nue et en mauvais état dans un fossé. Il faut croire que ces salauds n'avaient pas voulu finir le boulot. En tout cas j'étais mal en point : traumatisme crânien, deux côtes cassées, la lèvre fendue, des contusions sur tout le corps, et je ne parle pas de mes parties intimes.
Bien sûr, la gendarmerie est venue m'interroger et me pousser à porter plainte, mais qu'aurais-je pu ...