Un joli mois de juin - Histoires de Sexe

Un joli mois de juin

... commence de longs va-et-vient. Loëline noue ses jambes autour de la taille de son amant, pour bien le recevoir au fond d’elle. Qu’est-ce qu’elle aime se sentir possédée, soumise ! Le sexe sans fioriture ! Après avoir joui, ils se remettent à la pâtisserie et au rangement de la cuisine. Mais Loëline a déjà une idée pour réaliser un autre de ses fantasmes. Elle propose un repas dans le bosquet, avec un pique-nique amélioré, et une bouteille de vin blanc moelleux. Proposition acceptée avec plaisir par Alexander.

Le soir venu, ils s’installent dans le bosquet, sur la couverture, un verre de vin, de quoi manger. Cela ressemble à un dîner champêtre romantique. Après quelques banalités sur la beauté de la forêt, du ciel, sur la météo, ils parlent de leurs expériences intimes. Alexander commence :

— J’avoue : j’aime être nu chez moi. Je me sens libre sans habits. J’aimerais pouvoir aller sur les plages naturistes, mais étant vite reconnu, je ne veux pas faire la une des journaux people. D’ailleurs, ici, personne ne peut nous voir ?
— Je ne pense pas. À moins que ma mère ne décide de se promener en soirée, le parc est privé, nous ne devrions pas avoir de promeneurs.
— Alors je me mets à l’aise. Tu devrais en faire autant, tu verras, c’est agréable de n’avoir aucune restriction.

Alexandre retire tous ses vêtements, Loëline l’imite. Elle sent une petite brise sur ses seins, sur sa chatte. Que c’est doux !

— Et toi, Loëline : quelle est ton habitude inavouable ? Ou ton ...

... fantasme ?
— Eh bien, je… En fait… Je n’ai pas vraiment d’habitude inavouable. Ce que je fais est accepté par beaucoup de monde. Je lis des romans érotiques, tout en me caressant.
— Tu te caresses ? J’aimerais bien te regarder pendant que tu le fais. Et tes fantasmes ?
— J’en ai beaucoup ! j’en ai déjà parlé à un de mes petits amis, mais je crois qu’il a pris peur. Il croyait que j’étais réservée, pudique. Il a découvert que j’étais affamée de sexe, et il n’a pas cru pouvoir me contenter.
— Et tu crois que moi, je pourrais te satisfaire ? J’en ai très envie.
— Il faut essayer. Si on ne tente pas, on ne saura pas. Je pourrais préparer un planning pour cette dernière semaine, en incluant des moments de sexes. Pour ce soir, ça sera au clair de lune. Il y aura la piscine aussi. Et j’aimerai une partie domination.
— Oh ! tu préfères quel rôle ? Dominante ou dominée ?
— Pourquoi pas les deux ? Je ne connais que ce que j’ai pu lire ou voir, mais j’ai envie d’essayer.
— Je vais préparer quelques petites choses de mon côté aussi. En attendant, si on dégustait ce bon vin ?

La conversation se poursuit sur des thèmes moins érotiques. Ils se sentent bien. Après avoir fini de manger, et de ranger, ils s’allongent sur la couverture et contemplent le ciel. Ils savourent ce moment calme, cette intimité. Alexander prend la parole :

— J’ai décidé que ce soir serait tendre. Je vais te caresser, t’embrasser tranquillement. Je veux apprécier ton corps, tes formes, ta douceur. Je vais ...