Échanger ? Oui, mais…
Datte: 11/07/2024,
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Auteur: Un, deux, trois, Source: Revebebe
... sur ses épaules et on voit, plutôt on ne voit plus son sexe qui disparaît rapidement.
Son regard chavire alors qu’elle tourne son visage vers lui, avec un sourire crispé qui en dit plus, que de longues phrases, sur ce qui vient de lui prendre son petit trou.
Très vite, le mouvement redevient puissant. Jean attrape même une poignée de cheveux comme il aime aussi le faire avec moi afin de nous faire cambrer encore plus. J’ai pensé « Nous », enviant sa maîtresse…
J’ai oublié que je n’étais pas seule. Un regard vers Édouard montre que lui aussi est subjugué. Que pense-t-il à cet instant ? Est-il jaloux ? Il n’en montre aucun signe et…
Il bande. L’avantage ou l’inconvénient de vivre nu est qu’il est difficile de cacher ce genre de chose. Il bande, son sexe est tendu à l’horizontale. Il ne voit pas que je l’ai découvert. Mais, le sait-il lui-même ?
Je pose doucement ma main sur la verge. Il sursaute, me faisant craindre un instant que le couple nous découvre. Mais il est dans son trip et ils ont autre chose à faire que de regarder autour d’eux.
Édouard sourit. J’ai l’impression qu’il se sourit plus à lui-même qu’à moi, heureux de constater son érection. Ainsi la vision du couple l’a réveillé. Mais il n’y a pas que lui qui se réveille. Moi aussi, si on regarde, on peut voir que mes tétons pointent.
Alors je lâche son sexe pour lui prendre la main et je l’entraîne. Je repousse la porte et le tire vers notre chambre. En arrivant, je le pousse sur le lit, ...
... impatiente, mais aussi inquiète de ne pas le laisser débander.
Je suis déjà rassurée lorsqu’il fait un :Ohhh. alors que je pose mes lèvres sur son sexe. J’en prends la mesure. Au repos, il est imposant. En érection, il le confirme. Longue tige assez fine comparée au sexe de mon mari, plus gros, plus veiné, plus « nature ». Les bourses aussi sont séparées et non pas ce « paquet » indistinct chez Jean.
Son érection ne diminue pas, au contraire. Lorsque je lève le regard vers lui, il a les yeux fermés et je me dis qu’il revoit la scène que les amants nous ont offerte sans le savoir. C’est un peu dévalorisant pour moi, mais je ne vais pas faire ma « difficile ».
Je suis rassurée lorsqu’il m’encourage et le :
Julie, tu suces divinement bien. est un cadeau que j’accepte d’autant plus que maintenant son regard est pour moi.
Il apprécie que je lui gobe les bourses tout en le branlant. Une seconde, je me demande s’il apprécierait que je continue mon chemin vers son anus. Jean ne déteste pas, même s’il ne le demande jamais, comme jamais il ne me demande, ce que je fais parfois, et que son sexe en bouche, je pousse un doigt dans son fondement, le crispant pour déclencher presque immédiatement une éjaculation généreuse.
Mais je n’ose pas. Au contraire, j’abandonne la bite maintenant bien érigée pour venir le chevaucher.
C’est encore meilleur. Une nuit de solitude et ce que je viens de voir m’ont rendu toute « chose ». Mon fourreau est humide et accepte sans reproche le long ...