Toy's Story - Histoires de Sexe

Toy's Story

Une petite histoire rapide, soufflée par Magali, pour éviter de gâcher un cadeau de Noël…

Julien et Magali ont réussi à caler leurs agendas et profitent d’un moment calme pour partager un café au bureau de Julien. L’ambiance est toujours détendue et relaxante quand ils se retrouvent tous les deux pour discuter de tout, de rien, de choses intimes, ou plus sérieuses. Magali aime voir Julien sous tous les angles, et elle apprécie son environnement de travail clair, impeccable et décoré avec goût. Elle se sent bien dans ce petit coin salon cosy qu’il a aménagé pour des échanges plus informels, voire amicaux.

Julien est sur son territoire et très sûr de lui, il impose une prestance, une force qui fait beaucoup d’effet à Magali. Son costume bleu marine cintré met en valeur son physique athlétique, ses épaules larges et son bassin étroit, taillés en V parfait. Ses cuisses puissantes et ses fesses musclées que l’on devine sous son pantalonslimfit ne lassent pas Magali d’y laisser traîner ses yeux. D’ailleurs, Magali a fait aussi un effort particulier pour donner le change. Sachant qu’elle passait voir Julien, elle a mis un soin particulier à choisir une tenue sexy et élégante, mettant en valeur ses atouts sans vulgarité, mais avec beaucoup de charme. Julien regarde toujours Magali dans les yeux, car il en est dingue, mais elle sait aussi que son regard ne manquera pas de détailler sa jupe droite, son chemisier strict, mais qui ne demande qu’à être un peu plus ouvert pour ...

... laisser apparaître sa belle poitrine. Il lui semble que le dernier bouton a été négligemment oublié.

— Alors ce cadeau ?
— Pff, laloose ! J’ai acheté le même modèle que toi, mais j’ai fait un flop. Il n’est même pas sorti de sa boîte.
— Ah mince. Mais tu l’as amené comment ? Je veux dire, tu lui as donné comme ça ?
— Non, non, j’ai essayé de bien faire. Enfin, je crois. J’avais fait un joli paquet puis, après un dîner en amoureux et des papouilles coquines, j’ai sorti le paquet qui était caché sous l’oreiller. Mais quand elle l’a ouvert, j’ai eu une fin de non-recevoir. Elle m’a dit texto : « c’est toi que je veux sentir en moi et pas ce truc en plastique ». Je n’ai pas cherché à argumenter ni expliquer sur les possibilités offertes par ce type d’objet…
— C’est dommage, je suis déçue pour toi. Qu’est-ce que tu vas en faire ?
— Eh bien, là, je ne sais pas trop. Je l’ai même ici au bureau, car je sais que ma femme ne veut plus le voir à la maison… C’est bête de le jeter, mais je ne me vois pas trop l’offrir à quelqu’un et encore moins le revendre sur le bon coin.
— Pff, t’es bête… Tu avais pris quelle couleur ?

Julien se lève et sort d’un tiroir la boîte dusex-toy pour le présenter à Magali.

— Rose, comme le tien, cela a une importance ?
— Certaines filles préfèrent les vibros noirs. C’est un peu cliché, mais cela peut éveiller certains fantasmes du grand black tout musclé, répond Magali en manipulant distraitement le vibro.
— Mouais, j’ai du mal à faire le lien ...