1. Quand on s'promène au bord de l'eau


    Datte: 07/07/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Pilpoil, Source: Hds

    Je repense à cette baignade dans la Vézère un jour de juillet 2022 et comment j'aurais aimé que cela se poursuive...
    
    Il faisait une chaleur étouffante, météo France avait tablée sur un pic à 40°c, il était donc convenu d'aller se rafraîchir à la rivière en prenant de quoi pique niquer. Une fois arrivés sur la rive, dans un cadre verdoyant, calme et désert nous nous sommes tous mis en tenue pour nous baigner... Enfin tous... Ceux qui avaient pris leurs affaires de baignade ! Tour à tour nous commencions à prendre possession des lieux et à profiter de cette opportunité, loin de la promiscuité des plages du midi de la France, nous étions seuls pour 200m de rivière.
    
    Te sentant frustrée de ne pas te rafraîchir, tu commences à nous rejoindre dans l'eau. D'abord les chevilles, puis les mollets, et puis bon... tant qu'on y est : les genoux... Et finalement c'est agréable... Donc comme il n'y a que nous, allons y comme ça ! Et te voilà habillée dans la rivière parmi nous, en chemisier et culotte. La fraîcheur de l'eau fait se dresser tes seins dès que tu sors de l'eau, malgré la présence du chemisier ça se voit. Tes seins joliment dessinés se mettent à pointer. Après un long moment à jouer dans l'eau avec les bouées dans les courants tu viens vers moi pour m'embrasser. Je te fais remarquer ta poitrine, tu t'approches de mon oreille et tandis que l'une de tes mains se pose sur ma cuisse tu m'annonces :
    
    "tout à l'heure c'est la fraîcheur qui me faisait pointer, mais ...
    ... maintenant c'est une toute autre idée !" Ta main se pose sur mon sexe que tu commences à caresser à travers le maillot de bain. Tu m'invites à te suivre pour aller explorer d'autres recoins de la rivière.
    
    Nous nous éloignons petit à petit, tes caresses ont lancé un processus dans mon maillot de bain.
    
    Nous descendons la rivière pour nous retrouver dans un autre endroit à l'abri des regards, une petite plage ensoleillée un peu plus bas nous tend les bras. Tu t'y diriges, je te suis comme un petit toutou. "Je déteste avoir des fringues trempées sur moi" me dis tu, en déboutonnant ton chemisier, ta poitrine blanche se met à jour progressivement, puis tu le jettes au sol, te voilà quasiment nue, uniquement en en culotte. "Comme il n'y a que nous... C'est les vacances ! profitons en !" Je te regarde dubitatif et avant même que j'ai pu penser quoi que ce soit tu retires ta culotte que tu jettes sur ton chemisier.
    
    Tu es maintenant nue comme un ver, seul le bronzage habille ta peau, tes bras, ton visage, ton décolleté et une partie de tes jambes sont ambrés, le reste est d'autant plus blanc que la luminosité est forte et cela amplifie le contraste.
    
    Tu me sors de ma rêverie en disant: "Bah ! Reste pas planté comme ça ! Tu vois bien qu'il a besoin de prendre l'air !" Et d'un coup de mains habile te voilà en train de baisser mon maillot de bain jusqu'à mes chevilles. Puis empoignant mes bourses et secouant mon sexe "il est beaucoup plus à son aise ainsi, et en plus nous sommes sur un ...
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