1. Labourage et pâturage


    Datte: 05/07/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Micky, Source: Hds

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    ‌‌‌‌‌Quand Didier épousa Caroline, c'était avec la conviction qu'il avait trouvé une perle. Cet agriculteur se mariait avec une infirmière, ce qui assurait au moins un revenu stable. Vaillante au boulot, elle l'était aussi au lit et c'était rien de le dire. Petit gabarit au cheveux frisés déjà grisonnants, à la peau mate, aux grands yeux noirs et aux seins lourds, Caroline était folle de la queue épaisse de Didier, au point qu'après son tour de garde à l'hôpital, elle allait le retrouver dans son tracteur pour avoir sa dose de sexe.
    
    Deux enfants naquirent de cette union épanouie. Mais arrivé à la quarantaine, Didier eut du mal à répondre à la demande de son épouse volcanique. Non pas en manque de désir mais parce que ses tâches agricoles l'éprouvaient de plus en plus. Caroline évoluait dans un milieu professionnel où le sexe n'était pas absent, tant chez les infirmiers que chez les médecins il s'était fait à l'idée d'être cocu.
    
    Pourtant, Caroline l'assurait de sa fidélité mais il n'y croyait qu'à moitié. La chair est faible et celle de sa femme en particulier.
    
    Un jour, il embaucha un travailleur saisonnier Moldave prénommé Igor. Âge de 27 ans, athlétique, blond aux yeux azur, il attira illico les regards de Caroline et Didier s'en aperçut.
    
    Aussi prit-il son épouse bille en tête :
    
    - Chérie, ça te dirait de baiser avec Igor ?
    
    Caroline resta bouche bée avant de nier vigoureusement, disant qu'elle n'aimait qu'un seul homme et ...
    ... c'était son mari, qui répondit :
    
    - Je t'ai dit baiser, pas faire l'amour, et avec mon accord. Tu as des besoins que je ne peux satisfaire seul.
    
    Caroline protesta à nouveau mais plus mollement disant :
    
    - Encore faudrait il qu'il ait envie de moi. Je ne suis plus si jeune.
    
    Didier regarda sa femme. De fait ses cheveux frisés portes longs ou attachés étaient devenus grisonnants car elle refusait toute teinture par goût du naturel, à preuve encore son refus de s'épiler aisselles et pubis, et même de porter un soutien gorge, parfois même un slip par temps chaud. Plus d'une fois Didier l'avait troussée à la hussarde en détectant son cul nu. Elle adorait.
    
    L'idée chemina dans l'esprit de Caroline. Igor l'excitait, elle ne pouvait le nier. Elle se mit en quête de l'exciter à son tour. Quand elle aidait aux champs, elle se penchait en avant à portée de regard de l'ouvrier agricole, faisant bailler le devant de sa robe pour découvrir ses seins pendants ou bien, dans la position inverse, lever le bas de cette robe pour dévoiler ses fesses nues. Didier observait le manège. Il était sûr que l'ouvrier bandait. Comment pouvait il en être autrement au spectacle de cette chair généreuse, offerte et tentatrice, nonobstant les vingt ans de plus et les cheveux grisonnants ?
    
    Didier se décida à hâter le processus. Pourquoi tergiverser alors que les deux avaient envie de baiser ensemble et le feraient tôt ou tard dans son dos ? Il aborda Igor lors d'une pause, dans un mélange de français ...
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