Ma Collaboratrice 02
Datte: 04/07/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byRealbluetit, Source: Literotica
... chaque passage un peu plus de sa peau blanchâtre. Sans faillir, elle poursuivit autour de ses lèvres, mais elle n'osa tout de même pas prolonger cette séance entre ses fesses.
Je la laissais faire mais au moment où elle allait reposer le rasoir je lui demandai de se retourner et de se pencher en s'appuyant sur le rebord de sa baignoire. J'écartais ses fesses et rasais les derniers poils de son entre—jambe. Elle passa ensuite une crème d'hydratation qu'elle utilisait à la base pour le visage afin d'atténuer le feu du rasoir sur sa peau fragile.
De retour, dans le salon et avant qu'elle mette le tablier je lui fis admirer son nouveau bas ventre imberbe. Elle eut une secousse de se voir ainsi, mais sÛûrement pensait—elle déjà à la suite et à ce que je projetais pour elle.
Nous attendimes encore quelques minutes le livreur. Je profitai de ces quelques instants pour m'asseoir et demander à ma soumise de se présenter face à moi jambes légèrement écartées. Je passai ma main sous le tablier pour titiller ses lèvres et son clitoris. Elle était véritablement allumée, ce que je ne manquai pas de lui souligner pour confortais ma pensée :
— Tu es une belle salope tu sais.
— Ne dîtes pas cela ... je vous en prie.
— Mais si tu en es une. Je te rase, t'oblige à montrer ton cul à un inconnu et madame, comment croyez—vous qu'elle réagisse? Pleure t'elle, proteste t'elle? Non elle écarte les cuisses et livre son sexe tout mouillé à mes mains.
— Arrêtez de me dire cela j'ai ...
... déjà suffisamment honte.
— Je ne savais pas que l'avilissement procurait tant de plaisir.
— Je ne sais pas pourquoi mais je prends du plaisir.
— Je vois cela, allez prépare—toi, on sonne à la porte.
Elle remonta ses bas avec le secret espoir qu'il ne tombe pas trop vite. Ce fut, malheureusement pour elle vain, car à peine bougea—t—elle que l'une des deux s'affaissa. La lisière du bas n'était désormais plus protégée par le tablier.
Le livreur, heureusement pour Delphine, lui était inconnu. Il lui remit les plateaux repas. Ce n'est qu'au moment de récupérer l'argent qu'il vit coup sur coup le bas subrepticement tombé, et le miroir lui offrant une vue splendide sur le dos et les fesses de ma soumise.
Le changement fut soudain, d'un échange froid et mercantile entre deux inconnus, le regard du livreur devint celui d'un animal prédateur venant de repérer sa proie. En face, Delphine telle une frêle gazelle dont la seule protection est de se dissimuler, comprit qu'elle venait d'être découverte par les yeux brillants de cet homme. Sûr de lui et sans se préoccuper de ma présence, il prit un malin plaisir à prendre son temps pour rendre la monnaie et ainsi poursuivre son observation libertine.
A cet instant, il aurait pu exiger un extra de la part de Delphine, qu'elle le lui aurait procuré tellement je la sentais faible et démunie face à cet homme. Il n'en fit rien et repartit heureux de cette scène inattendue.
Tremblante elle revint vers moi et s'assit dans le ...