1. Ma Collaboratrice 02


    Datte: 04/07/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byRealbluetit, Source: Literotica

    ... ouvertement critiquée au collège.
    
    Et puis le déclic, elle saisit la poignée de porte et lentement ouvrit la porte tout en me lançant un œil implorant.
    
    Une vaine clémence, que je ne lui octroyais pas. Non j'avais le sourire et lui montrais que j'allais immortaliser cette scène en prenant des photos avec mon mobile.
    
    Elle se leva donc, sa culotte tendue quarante centimètres en dessous de son sexe. Puis elle ôta son vêtement exhibant du coup une femme en porte— jarretelles avec bas coutures complété par un soutien gorge noir dentelle, mais sans rien pour cacher son pubis. C'est donc un beau triangle noir qu'elle montrait pour la première fois de sa vie dans une rue passante. Mélange d'une peau blanchâtre lézardée du noir de ses sous—vêtements en dentelle renforçant plus l'exhibition que cachant l'intimité d'Hélène.
    
    Sa honte fût totale quand elle s'aperçut que deux hommes, ayant la soixantaine et discutant aux abords de l'arrêt de bus, fixaient avec incrédulité et envie cette femme impudique. Je sentis qu'elle voulait vite terminer l'expérience et rentrer dans la voiture. Derechef, elle se mit de face et remonta d'un coup sec en signe de défi je pense sa culotte le plus haut qu'elle pût. Son string bien se distendit et s'enficha entre ses lèvres. Je lui demandais aussitôt de se retourner pour apprécier cette ficelle qui disparaissait dans la raie de ses fesses. C'était si vulgaire que mon pantalon ne cachait rien de mon érection.
    
    Mais pour accroître son embarras, ...
    ... je pris son sac et le jetai hors du véhicule. Sa mine était défaite mais elle comprit ce que j'exigeais, et qu'il n'y avait pas d'alternative. Elle abandonna donc la protection de la portière et s'avança en direction de sac.
    
    Le moment était venu de ramasser les affaires éparpillées au sol. C'est ce quelle fit en s'accroupissant. Je me délectais une nouvelle fois de la vue de son sexe coupé par la dentelle du string, de ses jambes gainées et de ses seins aux tétons pointus que le soutien gorge ne sait cacher.
    
    Pour cette performance, elle eut droit à des coups de klaxons de quelques conducteurs chanceux.
    
    Quand aux deux vieux ils s'étaient approchés pour se régaler du spectacle volontairement offert. Ils agrémentèrent leur observation d'une remarque « si vous avez besoin d'aide pour satisfaire votre femme, on est partant». Je leur répondis un « pourquoi pas », qui se traduisait par un large sourire de leur côté, mais de l'effroi du côté d'Hélène.
    
    Nous repartimes ensuite pour se retrouver dans sa maison. Arrivée devant son portail, je l'autorisais à remettre sa robe mais elle ne devait refermer que deux boutons. Elle sortit donc pour ouvrir la barrière. La brise fit le reste en dévoilant de temps à autres ses blanches cuisses, les attaches de son porte—jarretelles, ou encore ses seins. Car en échange de sa robe elle avait bien dû enlever quelque chose, c'était donc le soutif qui avait disparu.
    
    Pour qu'elle ait bien honte j'avais aussi pris la liberté de l'éclairer ...
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