La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1602)
Datte: 04/07/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... reste de mon corps nu et servile. Mes jambes suivaient centimètre par centimètre… Je me sentais encore humiliée mais tellement excitée de cette reptation forcée, j’évoluais doucement telle une limace, un escargot sans coquille … Une fois arrivée au niveau de la tablette d’ébène, le collier se trouvait devant mon nez quand j’entendis le Maître me dire :
- Prend dans ta gueule de chienne, ce collier avec sa laisse accrochée et rapporte, Ma chienne, allez, rapporte-Moi jusque-là, à Mes pieds !, me lançait-Il montrant de Son index pointé le bout de ses chaussures parfaitement cirées…
Le Noble me parlait comme on parle à son chien (l’animal) pour lui faire rapporter le bâton qu’on lui aurait lancé. J’attrapais donc le collier avec mes dents et c’est avec difficulté que je réussi tant bien que mal à faire demi-tour en rampant, tout en gardant ma mâchoire refermée sur le collier. De longues minutes suivirent pour arriver jusqu’à Lui. Il patientait debout silencieusement, sans rien perdre du spectacle de Son regard Dominant et gourmand qui me fixait. Il semblait savourer ma lente reptation et je devinais une bosse à son pantalon, alors je compris que de me voir évoluer telle une limace, ça le faisait bander…
- Lâche le collier de ta gueule et lèche Mes chaussures !
Mon dieu, quel bonheur ! La récompense suprême ! J’étais couchée sur le ventre, là, à Ses pieds, physiquement à Ses pieds et j’avais cette immense chance de pouvoir enfin lui lécher le cuir de Ses chaussures… ...
... Alors je ne me fis pas prier ! C’est avec une extrême avidité gourmande que je sortis ma langue de salope et que j’entrepris de Lui lécher une de Ses chaussures. D’abord sur le côté, longuement puis sur le dessus et l’autre côté passant ma langue râpeuse et avec application. J’en mouillais terriblement de cet exercice si divin. Je me sentais tout simplement à ma place, je me sentais chienne, soumise, esclave, moins de rien, asservie, avilie et tellement heureuse et excitée… Au bout d’un long moment, le Maître exigea que je passe à Son second soulier verni…. Et je mis le même enthousiasme, la même énergie, la même envie tellement décuplée à obéir… Parfais je sentais le bout de sa cravache qui venait caresser ma nuque, déplacer une mèche de mes cheveux, frôler mes épaules, ce qui me procurait une excitation supplémentaire et toute sensuelle… Ce n’est qu’au bout d’un très long moment qu’Il me dit, laconiquement, toute en retirant son pied en arrière :
- Suffit !
Je stoppais net mon léchage, la gorge très asséchée par ce délicieux travail de langue. Le Maître attrapa au sol, à mes côtés, le collier-laisse que je lui avais rapporté et me lança :
- Tient, commence par aller boire, ça donne soif de lécher avec autant d’engouement Mes chaussures ! Alors tu vas aller jusqu’à ta gamelle mais toujours en rampant, salope !
Ma gamelle se trouvait tout au fond de la pièce à environ 5 mètres que je fis en rampant longuement comme tantôt, évoluant à avancer doucement, forçant sur ...