-
Cocufié sous mes yeux par ma femme et son pote gay
Datte: 03/07/2024, Catégories: fh, fhh, extracon, candaul, copains, hépilé, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, Oral pénétratio, init, confession, Auteur: EdgardBicher, Source: Revebebe
David, le meilleur ami de mon épouse Lisa, est gay. C’est un type que j’apprécie beaucoup, il est drôle, attachant, plein d’empathie. Je m’entends aussi très bien avec Marc, son mari à lui. Nous étions à leur mariage, dont Lisa fut d’ailleurs l’une des témoins. Je ne suis guère sociable, mais ce sont des gens que j’ai toujours plaisir à voir. Rares sont les personnes qui peuvent me faire renoncer le temps d’une journée ou même d’une soirée à mes instincts casaniers. Je n’aurais cependant jamais imaginé que ce dont je m’apprête à vous faire le récit aurait pu se produire. C’était un samedi, aux alentours de 18 h. Lisa est rentrée à la maison accompagnée de David. Ils revenaient d’un après-midi de shopping. Elle adore enchaîner les essayages et lui demander son avis. J’avoue que cela m’arrange, rien(ou presque) ne m’agace plus que de passer une partie de mon temps libre du week-end dans les magasins. J’étais en train de lire le journal dans la chambre lorsque j’ai entendu la porte d’entrée claquer et leurs rires déchaînés annonçant leur arrivée. Je suis descendu les rejoindre. Lisa a proposé qu’on boive un verre tous les trois avant que David reparte. Nous voici donc assis autour de la table basse du salon, les deux inséparables amis sur le canapé et moi leur faisant face sur le fauteuil. La conversation a commencé par les banalités d’usage, puis j’ai pointé du regard les nombreux sacs qui avaient échoué sur le sol à quelques pas de là et plaisanté sur le fait que ma ...
... femme avait l’air d’avoir reconstitué toute sa garde-robe. Lisa a souri et m’a dit : — Attends, chéri, je te montre ! Elle s’est jetée sur le premier sac pour m’en présenter le contenu : un pull rouge à grosses mailles. Puis un deuxième sac : un jean brut déchiré(ce qui était fait exprès) au niveau d’un genou. Un troisième : un foulard multicolore et fleuri. Et ainsi de suite. On aurait dit une présentatrice du téléshopping vantant les mérites de chaque pièce et débordant d’inventivité pour leur trouver des qualités insoupçonnées et ainsi justifier le caractère impérieux de l’achat. David me jetait à chaque fois des coups d’œil amusés, que je lui rendais, lui faisant ainsi comprendre que je n’attendais pas un tel argumentaire mais que le zèle de Lisa m’attendrissait. Nos verres se vidaient et les liqueurs faisaient leur effet, gentiment désinhibant. Ma femme semblait avoir gardé le meilleur pour la fin. — Attends de voir cette petite robe ! Ça va devenir ma chouchoute pour l’été ! Et de dégainer une robe verte à fleurs blanches arrivant au-dessus du genou, en tissu léger que j’imaginais confortable rien qu’en le voyant. Je lui confirme que je la trouve très jolie. — Non mais faut que tu la voies portée ! Je n’ai pas eu le temps de répliquer quoi que ce soit que Lisa était en train d’enlever son t-shirt en plein milieu du salon, puis d’ôter sa jupe pour ne plus apparaître qu’en soutien-gorge de dentelle carmin avec son string assorti. Heureusement que David ...