1. Décompresser... à trois c'est mieux


    Datte: 03/07/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Queuedusexe, Source: Hds

    ... leurs et Djibril m’a embrassé. Il y avait beaucoup de tendresse. Léonie a réagi à mon contact contre sa cuisse, à mes doigts s’aventurant sur sa fesse et dans la raie. Djibril s’est redressé et Léonie m’a attiré, avec un regard très intense, pour un patin qui m’a laissé essoufflée, pleine de désir.
    
    Quelque instants plus tard, les mains puissantes de Djibril m’avaient placé sur elle, nos seins écrasés entre nous, nos lèvres soudées. Djibril a positionné son gland et m’a prise comme ça, le cul offert à ses assauts. Léonie avait les mains sur mes fesses ou griffait légèrement mon dos. Djibril donnait des coups de boutoirs, utilisant toute la longueur de sa queue pour me prendre. Prise en sandwich entre les deux, j’étais au paradis. Nos peaux en sueur glissaient, brillaient. J’ai joui plus fort que jamais et notre amant a pénétré Léonie, puis moi, grognant de plaisir, d’excitation, jusqu’à sa jouissance sur nos corps repus de plaisir.
    
    Djibril est parti peu après car il avait des choses à régler, nous laissant seules. On en a profité pour monter au cœur de l’île, voir un volcan, avant de s’arrêter dans un petit bistro.
    
    LEONIE
    
    J’avais besoin de réfléchir et de parler seule à seule avec Marie.
    
    Toute la journée, on s’était baladées en de tenant la main, ou par la taille. Suivant celle qui conduisait, un main s’aventurait sur un bras ou une cuisse. C’était tendre, affectueux, intime. Je tombais folle amoureuse de Marie. Et je savais qu’il ne faudrait pas longtemps pour ...
    ... développer des sentiments pour Djibril. Il était loin d’être le dragueur dépourvu d’émotion qu’il pouvait laisser paraître au tout début. Il était plein d’humour, quand on n’était pas en train de baiser. Et Marie avait raison, côté cerveau, il n’était pas bête du tout.
    
    Juste avant de rentrer dans le bar, j’ai collé Marie contre un mur, un peu à l’écart des passants. Sous son regard troublé, j’ai déposé un baiser plein de passion sur ses lèvres et avant qu’elle ne réagisse, j’ai pris sa main pour l’entraîner dans un petit bar, pour être à l’abri de la chaleur, et à l’abri des oreilles indiscrètes. Seulement, j’avais du mal à me concentrer. En l’embrassant, Marie avait fondu dans mes bras, yeux pleins de désir. J’adorais cette sensation de pouvoir la rendre aussi sensible à mes attentions. J’aimais cette fille parfaite, belle et si sensible.
    
    - Moi : Marie, je crois qu’il faut qu’on parle.
    
    Léonie m’a regardé un peu apeurée.
    
    - Marie : Je sais que tu aimes les garçons, et Djibril te plaît bien plus que n’importe quel autre homme avec lequel je t’ai vu. Ne t’inquiètes pas. Je vais m’en remettre. Je m’y attendais. Mais j’ai aimé ce qu’on a partagé…
    
    - Moi : Hein ? arrêtes, c’est justement pour ça que je t’ai embrassé avant de rentrer ici. Tu as vraiment l’impression que mon baiser était dépourvu de sentiments ?
    
    - Marie : Non… Bien sûr que non… Mais…
    
    - Moi : Je trouve certaine fille jolies, depuis toujours. Mais avec toi… C’est différent ! Tu ne le vois pas ? Tu ...
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