1. Fin de l'initiation


    Datte: 02/07/2024, Catégories: fffh, fbi, fplusag, couleurs, couple, voisins, poilu(e)s, hépilé, fépilée, amour, fsoumise, fdomine, odeurs, caresses, rasage, Oral fgode, fdanus, fsodo, hdanus, hgode, totalsexe, Auteur: Cvices&delices, Source: Revebebe

    ... pointe d’inquiétude dans le cœur. Il allait s’habiller pour descendre sonner, mais une alerte sonore venant de son PC attira son attention.
    
    Rassuré, Martin posa ses doigts sur le clavier.
    
    Martin ferma la boîte de dialogue et resta un moment l’air perdu dans ses pensées. La perspective de voir Marie-Claude et son amie l’intriguait. Il la savait capable d’organiser un traquenard sensuel à vocation éducative… Enfin, façon de parler.
    
    Martin regarda l’heure. 10 h 50. Un brin de toilette s’imposait avant de débarquer. Le jeune homme fila dans la salle de bain. Une fois nu, il s’observa dans la glace en pieds. Grand au physique assez frêle, Martin avait encore l’allure légèrement voûtée des adolescents en fin d’une croissance qui se solderait dans les années par une prise de masse musculaire. Mais cela lui importait peu pour le moment, car Martin se sentait plutôt en paix avec lui-même et surtout avec le corps que Dame Nature lui avait octroyé. Il se dit qu’il y avait une vraie forme d’iniquité dans le rapport au corps qu’entretenaient hommes et femmes. Si lui et beaucoup de ses amis hommes ne pensaient simplement pas plus que cela à leur apparence, il avait pris conscience, au contact de Marie-Claude et de son ex-petite amie, Émilie, à quel point vivre dans un corps de femme au quotidien pouvait être éprouvant et source de souffrance. Les femmes étaient avant et surtout d’abord réduites à n’être qu’un corps avant d’être une personne.
    
    Marie-Claude lui avait raconté ...
    ... comme un acte anodin comme celui de marcher dans une rue bondée en centre-ville pouvait revêtir un caractère désagréable. Il y avait d’abord tous ces regards masculins qui avaient ce trait de systématiquement la dévisager longuement avant de scanner intégralement son corps de haut en bas. Puis ces regards lourds et pesants dans son dos, à reluquer, presque palper virtuellement son corps et ses fesses. Enfin, il y avait les accostages directs faits avec plus ou moins de finesse dont une part se soldait par un « sale pute » au simple motif qu’elle avait refusé de donner son prénom ou son numéro de téléphone. Autant de choses qui, hélas, n’avaient rien d’exceptionnel, mais constituaient pourtant le quotidien d’une large majorité de femmes. Marie-Claude lui avait raconté qu’un jour, elle en avait eu marre de ces diktats. Elle avait commencé par arrêter de s’épiler sous les bras ainsi que la vulve. Ces simples changements avaient eu des répercussions inattendues sur sa façon d’être. Ce sentiment de liberté d’être envahit petit à petit tous les champs de sa vie, à commencer par sa sexualité qu’elle s’était soudain sentie libre de vivre exactement comme elle l’entendait. C’est ainsi qu’elle avait commencé à expérimenter. Souvent avec bonheur, parfois avec déception. Elle avait ainsi appris à se connaître et surtout à vivre pleinement les choses sans plus être entravée par le fait que ce qu’elle faisait entre ou pas dans la catégorie du respectable.
    
    Martin observa son corps nu en ...
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