1. Le fantasme de Sayuri (2ème partie)


    Datte: 15/07/2019, Catégories: fhh, asie, gros(ses), grossexe, fépilée, piscine, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme entreseins, facial, Oral préservati, Auteur: Ari Duparc, Source: Revebebe

    ... chose d’intime. C’est alors qu’elle remonta le regard vers son visage gardant sa propre bouche figée entre la surprise et la désolation. Kitayama-san se releva soudainement avec la grâce d’un Boeing 747 qui décolle, découvrant un sexe énorme qui pendouillait tristement entre ses grosses cuisses. Avalant difficilement sa salive, Takako se tortillait dans sa position délicate.
    
    — Mon honorable voisin possède un très gros sexe, fit-elle comme pour excuser sa présence.
    
    Elle ajouta victime d’une pulsion :
    
    — Est-ce qu’il pourrait devenir encore plus gros ?
    
    La jeune Japonaise ne reconnaissait plus la voix qui sortait de sa propre bouche. Comme mue par une force invisible, elle plongea ses petites mains vers l’entrejambe submergé et tira sur la peau, découvrant un gland rougeâtre gros comme une petite pomme. Elle commença à le masturber. Le sexe était toujours aussi mou, mais il avait considérablement grandi. Elle n’en avait jamais vu d’aussi gros. De plus en plus confuse, la jeune fille se concentrait sur ce qu’elle estimait être sa réparation. Elle se plaça devant lui, s’agenouillant sur le fond. Elle regarda le gros membre flotter devant elle. Elle se mit à le masser entre ses seins, après avoir fait glisser les bretelles de son maillot. À chaque aller-retour, elle prenait le gland dans sa bouche, s’écartant les mâchoires de manière indécente.
    
    Accroché au bord du bassin de bois, le Sumotori ne réfléchissait plus. Il soufflait et tremblait de toute sa graisse. Le ...
    ... contact de ce membre énorme qui grandissait entre ses seins et en partie dans sa bouche, éveillait chez elle quelque chose de honteux et excitant à la fois. Elle baissa les yeux. Ce qui avait été une chose molle se dressait maintenant plus haut que le nombril du sumo. Une colonne raide et gorgée de sang dont elle sentait la dureté entre les doigts. Elle se dit fièrement qu’elle en était la cause ! Le gros soufflait comme un phoque. Il lui empoigna la nuque et pesa pour qu’elle fasse entrer quelques centimètres de plus dans sa bouche. Elle sentait ses mâchoires se distendre. Pendant qu’il se démenait, ses mains essayaient de se faufiler sous le maillot de la provocatrice. Elle sentit ses gros doigts forcer son sexe et se dit que s’il insistait, elle n’aurait pas la force de résister tant l’excitation la gagnait.
    
    Au moment où elle commençait à désespérer, il poussa un cri étranglé et son corps se mit à trembler. Son sexe tressautait nerveusement. Elle devina qu’il avait commencé à jouir. Elle n’eut pas le temps de retirer sa bouche et reçut tout sur le visage. Il se tordait en agrippant ses seins, son sexe, ses cuisses. Et puis, tout d’un coup, il retomba enfin repu. Elle se précipita hors du bain, déambulant sur les quelques marches de bois, rouge de honte. En rajustant son maillot, elle courut vers les douches laissant derrière elle l’Ozeki affalé.
    
    Sayuri se promenait dans la grande avenue bordée d’arbre d’Omote-Sando. Ce quartier est un peu l’équivalent japonais des Champs ...
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