1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1564)


    Datte: 02/07/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... froide, je grelotais. Au petit matin, j’étais pris en charge par Marc, cet homme tout aussi vicieux. Il me détachait et me retirait enfin tous mes attirails. Mon cul était enfin vidé de ce volumineux rosebud, ma couche retirée ainsi que le boitier aux électrodes, seule ma cage de chasteté restait en place. Ma bouche libérée de ce maudit bâillon à tétine, mais a vite été remplacé par la verge de ce vicieux personnage. Sa bite était demi-durcie par son début d’érection matinale et il venait juste se soulager une nouvelle fois au fond de ma gorge après avoir pris possession de ma cavité buccale sans ménagement en me la baisant avec vigueur et cela juste pour se vider les couilles. J’étais contraint de tout avaler de nouveau… Puis il me transportait jusque dans le séjour en m’ordonnant de me tenir à genoux, mains sur la tête.
    
    - Tu pues la pisse, gamin, tu t’es encore soulagé dans ta couche, tu n’as pas honte sale fils de pute !
    
    J’aimais bien le « encore »… comme si c’était un acte habituel. Bien sûr que si, j’avais honte… Je me sentais misérable et répugnant. Une première gifle m’assommait, une seconde me faisait tituber.
    
    - Ne bouge pas, salope, reste droit…
    
    Marc me sermonnait encore :
    
    - Tu vas m’obliger à te punir encore, fils de catin et d’enculé, crois-moi, tu vas apprendre à pisser dans un pot !
    
    Le contexte, les baffes reçues, ma posture, cette régression imposée, ces mots utilisés, les conditions dans lesquelles j’avais passé la nuit faisaient un ...
    ... ensemble de choses qui m’anéantissait. Pourtant et parallèlement à ça, je sentais monter en moi un plaisir sexuel purement primaire qui s’imposait et se figeait, en réponse à toutes ces humiliations répétées. A cet instant, j’éprouvais une sorte de jubilation honteuse à être exposé ainsi et aussi et surtout par le plaisir manifeste que je donnais à cet homme machiavélique qui éprouvait une véritable satisfaction à m’humilier de la sorte.
    
    - Oui punis-le, Marc !, rajoutait la mégère maintenant debout et toujours nue sous son peignoir, au corps répugnant.
    
    La grosse femme se tenait appuyée contre le chambranle de la porte, avec juste ce peignoir semi-ouvert et posé sur ses larges épaules, elle se frottait la chatte énergiquement, sans aucune pudeur. J’osais regarder l’un après l’autre ce couple pervers, Ils étaient tout simplement démoniaques, fous… Je ne parvenais plus à les comprendre. Tout avait été fait pour que je me pisse dessus et maintenant ils décidaient de me punir… Cette ambivalence dans leur façon d’agir, de penser me laissait dans une perplexité, dans un état de doute, dans un embarras sans nom. Sans doute, était-ce un moyen pour eux deux d’afficher leur domination et d’assoir leur autorité en me laissant en permanence sur le qui-vive et sur mes gardes. Ils avaient à l’évidence ce pervers plaisir à m’humilier, à me faire me retrancher dans mon état de servilité le plus décadent…
    
    - Viens dire bonjour à nounou !, m’ordonnait cette garce obèse.
    
    J’avançais en ...