Les retrouvailles
Datte: 30/06/2024,
Catégories:
fh,
vacances,
amour,
caresses,
nostalgie,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: Fred2059, Source: Revebebe
... face, en tailleur.
L’air était calme, la température douce et on pouvait seuls entendre le murmure d’un ruisseau dans le lointain et un doux bruissement des feuilles déplacées par une faible brise. La tête légèrement en arrière, elle avait fermé les yeux et ressentait le bien-être qui émanait de son corps. Cette montée avait été rude et des perles de sueur décoraient son ventre et ses seins.
Assis en face il la détaillait des yeux : son visage, ses pieds au bout de ses fines chevilles, sa vulve glabre avec les grandes lèvres que la position entrouvrait naturellement, son nombril, puis en remontant ses tétons positionnés au-dessus de l’horizon, son menton volontaire pour finir par sa bouche, ses yeux clos et son front. Pas une photo de magazine, mais une jolie fille. En rouvrant les yeux, elle lui sourit.
— On est bien, ici ! dit-elle d’une voix interrogative.
Elle avait besoin d’être rassurée sur le ressenti de son compagnon.
— Oui, répondit-il, tu veux boire quelque chose ?
Elle acquiesça et il lui tendit une gourde de jus d’orange qu’il avait mis à fraîchir avant de partir de chez lui.
Elle détailla son corps qu’elle avait tant caressé. Ses épaules musclées, ses pectoraux, elle aimait beaucoup les garçons avec ces muscles bien développés, ses cuisses de sportif, ses mollets de footballeur un peu trop gros à son goût, ses grands pieds et, au milieu, son sexe au repos, malgré quelques pensées impures, comme en ont régulièrement les hommes.
Elle ...
... découvrit notamment que, depuis qu’ils s’étaient quittés, il s’était épilé les bourses et le scrotum et avait réduit sa toison…« c’est plus joli ! » pensa-t-elle.
Il se leva et lui tendit la main afin de l’aider à se relever. Sa virile impulsion attira Delphine jusqu’à toucher son corps, et il en profita pour la serrer un instant dans ses bras.
— Tu triches, lui dit-elle tendrement.
— Passe devant et ne va pas trop vite, intima-t-elle.
Il ouvrit la route et ils reprirent leur balade vers le lac. En sortant de la forêt, ils durent se rhabiller à cause des promeneurs et arrivèrent sur les bords du lac vers 15 h. En fait, il y en avait deux. Le principal, au bord duquel était installé le refuge du Renard, et un plus petit, cent mètres au dessus, que seuls les puisards, les marmottes, le vent et le soleil fréquentaient. Et eux.
— Le dernier qui se retrouve nu doit se baigner ! annonça-t-il.
Elle le connaissait par cœur. Il était à croc de ces petits jeux flirtant avec l’érotisme, de ces défis où le perdant avait un gage à effectuer.
Prestement, elle retira ses chaussures, ses chaussettes, son short et son tee-shirt, et se retrouva nue comme le jour de sa naissance. Il avait essayé de retirer son short en premier et cela lui avait été fatal. Le vêtement avait accroché le talon de sa chaussure de marche et il était tombé à la renverse les fesses en l’air et à l’air. Il avait perdu. Le voyant dans cette posture, elle avait éclaté de rire :
— Tu croyais m’imposer le ...