1. Première nuit au Château de Gui ( II)


    Datte: 30/06/2024, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Lisa-Al, Source: Hds

    ... rythme de sa caresse. Je ne le commande pas, c’est mon corps qui réagit. Eve à la bouche empalée sur la bite de Gui, ses lèvres touchent presque son pubis. Je ne pense pas pouvoir faire la même chose. Elle est surprenante de féminité et de savoir faire. Les yeux de Eve parlent pour elle, partager le sexe de son amant avec moi lui plait imensément. Elle libère la queue, dégoulinant de salive, elle me regarde, approche ses lèvres luisantes des miennes. Un baiser à nouveau brûlant. Je gémis dans sa bouche sous les doigts de Gui qui affolent ma chatte.
    
    Hmmm çà à l’air bon ma chérie dit-elle en rompant le baiser.
    
    Je ne peux que hocher la tête et gémir à nouveau. Je me sens ouverte, béante, mon clitoris est tendu. Eve aussi gémit comme moi.
    
    Oh je sais, il me fouille avec ses doigts.. regarde..
    
    Elle se redresse et me montre la cage enserrant son sexe. Elle est festonnée de mouille qui s’écoule de son gland comprimé contre les barreaux de sa cage. Je tends la main, récupéré ce nectar que je dépose sur les lèvres de Gui, qui se met à lécher mes doigts.
    
    Soudain je sens deux mains douces qui se posent sur mes fesses, puis un souffle tiède sur ma fente, une langue me touche, je la reconnaîtrais entre mille, Iris s'est approchée et me lèche toute la vallée. Gui retire ses doigts lentement pour laisser ma chérie me manger.
    
    D’autres mains caressent mes cuisses, mon ventre montent jusqu'à mes seins. Marie se joint à la partie. Rapidement Iris me mange le clito et Marie me ...
    ... pénètre le petit trou avec sa langue. C’est un instant d’extase pure. Je suis parcourue de frissons. Eve reprend ma bouche, comme pour étouffer mes gémissements de plaisir. J’avais déjà vécu ce genre d’instants, mais là c’est divin, je suis le centre de l’attention de tous, je suis le réceptacle de leurs caresses, de leur tendresse, de leur amour. Mon sexe est en train de se liquéfier, je sens des gouttes ruisseler le long de mes cuisses, mouille ou salive peu importe, elles dessinent des traces brillantes sur ma peau. Mes bouts de seins sont gonflés, tendus, érigés comme ils le sont rarement. Une sorte de tension de la peau qui me fait croire qu’ils vont éclater. Je ressens chaque caresse, chaque attouchement déclenche un frisson. Je désire que Gui me prenne, j’ai l’attitude de la femelle, j’attends son sexe en moi.
    
    Je suis sur le point de quémander la saillie du mâle, quand Marie dit :
    
    Gui, mon chéri, ne laisse pas la petite dans cet état, elle a besoin qu’on la prenne. Regarde, elle est béante!
    
    Gui ne dit rien, se redresse, puis se cale à genoux derrière moi..
    
    J”ai la surprise de voir Iris, se placer face à moi, on se prend les mains les doigts entremêlés, on s’embrasse, je retrouve le parfum et le goût de sa bouche, et sur ses lèvres un avant goût de la chatte de Marie.
    
    Eve a laissé la place à Iris, elle ne sait pas trop comment agir, n’ose pas vraiment la toucher. Mon regard a dû trahir la situation, Iris tourne la tête vers Eve et pose un baiser sur ses ...
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