Nouveau règlement
Datte: 29/06/2024,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
jeu,
Humour
jeux,
Auteur: CarpediemAdlib, Source: Revebebe
... le Directeur commercial vient nous informer que nous sommes les derniers. Il vient surtout nous répéter de bien mettre l’alarme en partant.
20 h 30… mon cerveau sature… je vais péter un plomb…
Allez, un dernier coup de téléphone et ce sera bon pour aujourd’hui !
Caroline est encore au téléphone avec le bureau de New York, évidemment, la journée est loin d’être finie pour eux. J’adore l’écouter parler anglais, ça lui donne un côté sexy, genreworking girl.
Mon interlocuteur décroche, nous échangeons sur la planification des prochaines étapes sans tomber d’accord. Ça me soule… il faut pourtant que je le fasse changer d’avis.
Caroline en a terminé. Elle s’est écroulée dans son fauteuil, elle aussi semble fatiguée. Elle retire sa veste puis me rejoint. Elle porte encore un de ses hauts moulants à col roulé. Je la regarde se déplacer, voir cette poitrine bouger au rythme de ses pas à un effet apaisant. Elle se met face à mon bureau et me sourit. Puis elle se saisit du bas de son col roulé et le remonte jusque sur la pointe de ses seins. « Boum ! », c’est l’effet que ça me fait, là, tout de suite. Je vois l’arrondi de ses magnifiques globes dressés devant moi. Ses doigts remontent jusque sur ses tétons, les saisissent, les pincent ; leur forme apparaît nettement sous le tissu. Je suis toujours au téléphone, mais plus vraiment à ma conversation. Caroline sourit toujours… un air coquin accroché à ses pommettes.
Mon interlocuteur m’agace, ça n’avance ...
... pas. Caroline a fait le tour du bureau. Elle ouvre ma braguette sans hésiter. Ma trique est bien visible et déjà en forme avec ce qu’elle vient de me montrer. Elle la sort du pantalon… « Non, pas maintenant ! » Elle s’agenouille, redresse ma queue et la glisse entre ses seins, « Wouah ! », je passe sous un tunnel : plus de réseau dans ma tête.
Elle ne bouge pas. Ses yeux sont plantés dans les miens. C’est une vraie torture. Malgré tout, sa respiration imprime un léger mouvement sur mon sexe, très léger, mais tellement bon… je suis emprisonné, par ma conversation d’un côté et par la pression mammaire de l’autre.
Caroline ne bouge toujours pas, ça devient un supplice. Plus elle est statique et plus je bande. Les minutes passent durant lesquelles je tente de conclure et obtenir gain de cause. Caroline, de son côté, s’emploie à limiter ses mouvements tout en prenant des inspirations de plus en plus fortes. La conversation est sur le point de se conclure sur unstatu quo.
Caroline dans un geste théâtral me libère, pose un délicat baiser sur ma verge érigée et repart tranquillement à son bureau, son col roulé toujours relevé. Je raccroche encore plus dégoûté et agacé. Je suis frustré comme jamais, excité et délaissé. J’ai presque envie de me finir, là, sur mon bureau, devant Caroline. Mais non, je ne m’y résous pas… Pas sur mon bureau quand même !
Caroline s’est rhabillée et quitte la pièce :
— Bonne soirée, Raphaël, et n’oublie pas l’alarme…
Victoire par ...