1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1648)


    Datte: 29/06/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... se retourna et me toisant du regard me lança :
    
    - Tais-toi, le chien ! Suis-moi sans rouspéter !
    
    J’ai compris que Pierre était en train de réaliser ses fantasmes et besoin de Domination, qu’il avait envie de quelque chose d’inhabituel. Son intonation reflétait autant l’autorité que l’excitation. Quelque peu excité, je me surpris de mon côté à lui répondre un :
    
    - Oui Maître !
    
    Pierre me fit traverser la piste en me tirant par la laisse. Il ne courrait pas, prenant presque son temps pour que tout le monde me voie. La chienne du Maître, bien docile et obéissante, voilà ce que je ressentais être et ça me faisait bander. Au bout d’un moment, Pierre se dirigea vers les escaliers. De la musique remontait alors du sous-sol et nous nous engageâmes dans le conduit descendant jusqu’au niveau en dessous. Il y faisait encore plus sombre et des sons de voix se mêlaient à la musique. Mes yeux s’habituèrent à l’obscurité et je pus distinguer un couloir avec des portes de chaque côté. Nous avancions dans ce couloir lentement. La chaleur y était étouffante et l’odeur de renfermé presque oppressante. Passant devant une des portes restée entrouverte, j’aperçus une croupe poilue s’activer entre deux jambes relevées. Visiblement l’endroit n’était pas fait pour s’ennuyer ou pour dormir. Pierre ouvrit une des portes du fond, comme s’il était chez lui. La lumière était plus que tamisée et le sol semblait recouvert d’une épaisse moquette souple. Au mur, un téléviseur au grand écran plat ...
    ... diffusait un film X gay BDSM où les protagonistes s’enfilaient à qui mieux-mieux, se suçaient ou se jouissaient dessus sans retenue.
    
    Au milieu de la pièce trônait une espèce d’instrument de torture, comme une planche recouverte de moquette de 50 cm de large environ, reposant sur des tréteaux et fixée un peu en pente. Deux étriers partaient de chaque côté et des chaînes pendaient du plafond.
    
    - Déshabille-toi, le chien !
    
    Je m’exécutais et Pierre en profitait pour se rincer l’œil, me matant amplement mon cul et mon sexe érigé. Une fois nu, Pierre tira sur la laisse et me fit allonger sur le ventre, sur l’engin de torture. En fait, ce n’était pas si inconfortable que cela. Je me couchais donc, les bras ballant de chaque côté attendant la suite des évènements. Pierre attrapa les chaînes et m’emprisonna les mains. Il écartait mes bras, tenus uniquement par les menottes fixées au bout des chaînes. Il me recula un peu pour libérer mon pubis et laisser dans le vide mes couilles et ma queue déjà bandante. Il attacha mes pieds dans des courroies qu’il fixa à d’autres chaînes. Je me retrouvais ainsi pieds et poings liés faisant dos à la porte à la merci de Pierre. L’excitation et la nouveauté de la situation me faisaient perler et je mouillais abondamment, la bite droite comme un I.
    
    - Ca t‘excite tout ça, hein ? Attends un peu, tu n’es pas au bout de tes surprises.
    
    Pierre sortit un martinet et commença à me flageller les fesses. Les coups étaient savamment administrés, alliant ...