1. La Prisonnière du Cartel Ch. 04


    Datte: 28/06/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byAlexandre1965, Source: Literotica

    ... de ses commentaires, de son bonheur. Il jouit plusieurs fois grâce aux petites pilules, que pris Machito aussi. Je dois confesser que mon foutre fut gaspillé lui aussi. Térésa est une femme si belle et classieuse. Elle fut ravagée et ses cris et gémissements accentuaient notre terrible excitation.
    
    Salama : « Mon épouse à une très belle voix...elle fait parti d'une chorale....humm, écouter là crier... »
    
    Voici ce que je vis et entendis dans l'orde, d'après mes souvenirs : allongée, nue sur un matelas, elle a du branler a genoux des hommes et en sucer d'autres. La Chiquita lui donnant des petits coups de baguette dans les recoins sensibles de son corps pour qu'elle obéisse avec célérité et motivation. Térésa pleurait. Ensuite, vinrent de multiples pénétrations.
    
    Salama : « Remarquez comme sa chatte a été soigneusement rasée!!! »
    
    Baisée et défoncée, elle dut supporter des doublettes chatte et cul, mais aussi triplette, chatte, cul et bouche. En levrette, couverte d'insultes et de consignes, la Chiquita frappa plusieurs fois son dos pour l'obliger à se cambrer. Ils la plaquèrent sur une petite table, seins écrasés. Elle était baisée et devait sucer. Puis chacun des dix hommes, a tour de rôle, s'est allongé sur le dos. C'est Térésa qui devait monter et descendre sur les pieux. Térésa ne le faisait pas bien et La Chiquita la frappa plusieurs fois sur les fesses, le ventre et les seins pour qu'elle s'applique. Salama déchargea en voyant cela.
    
    Salama ; " Voilà qui est ...
    ... excellent pour travailler la force de ses cuisses!"
    
    Il faut bien préciser qu'une caméra filmait en gros plan toutes ces bites et leurs va et viens dans la suppliciée mais aussi le visage de Térésa, abimée par la douleur et l'humiliation. La prise de son était remarquable. On entendait les petits ou grands gémissements ainsi que les cris, et les souffles.
    
    L'apothéose vint avec le numéro de la Chiquita. Salama et Machito crachèrent leurs foutre, bouche bée durant les meilleurs moments et ils furent nombreux. Les mains de Térésa étaient attachés et tirés en hauteur. La femme du gouverneur était donc debout, les cheveux défaits, des traces de foutre un peu partout. C'est alors que la Chiquita nous montra tout l'art de sa baguette. La musique des cris de Térésa était des plus excitante. La Chiquita s'amusait a varier le rythme de ses coups et aussi l'endroit ou la baguette s'abattait. Térésa ne pouvait rien deviner à l'avance, si ce n'est se tortiller, impuissante et ridicule. Puis la Chiquita posa sa baguette et vint monter deux pinces métalliques sur chacun des seins de la salope, autour de chaque auréole.
    
    La Chiquita : « Ta fille a d'adorables petits nichons mais les tiens sont celles d'une femme mure, et ont besoin d'être traités comme les pies d'une vache »
    
    Térésa : « Non...s'il vous plait... »
    
    Puis elle installa deux gros poids fixés par une chaine. Térésa se mit à gémir.
    
    Salama : ' Oh, regardez, comme cela les tire... »
    
    La Chiquita s'amusa a les tirer ...
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