1. Le réveil d'un autiste, Tatiana 4


    Datte: 28/06/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Mlkjhg39, Source: Hds

    ... Narcisse ! Quel engin merveilleux tu as ! Et il est si doux.
    
    Il reprend son va et vient dans mon vagin, mais sa main s’égare pour finir entre mes fesses. Il lubrifie de sa salive et de nos débordements mon petit trou, me tartine la rondelle avec le mélange de son foutre et de ma sève qui coule entre mes jambes avant d’y glisser un doigt, puis deux. J’aime par-dessus tout qu’on me masse l’anus. La pression des doigts enduits de liquides organiques autour de ma rosette me chauffe les sens plus que de raison. Dans la sodomie, ce qu’il ne faut pas négliger, ce sont les préliminaires. J’ai un goût particulier pour les longues feuilles de rose, de celles qui préparent bien le cul avant une bonne intromission en profondeur. La queue de Narcisse n’a pratiquement pas débandé depuis qu’il m’a juté au fond de la chatte.
    
    Son chibre quitte la douce chaleur de mes muqueuses et je sens son gland appuyer sur mon sphincter qui lui résiste pendant que ses doigts investissent la zone laissée libre. Je sens sa queue qui se tend au centre de mon étoile intime, m’écartelant encore un peu plus les chairs. Cette sensation divine m’ébranle le cul et la chatte. Ma vulve se contracte sur les doigts de Narcisse, tout comme mon muscle anal sur sa tige. Il prend dans sa main droite la hampe courbe et force un peu plus. Mon anus après un dernier baroud d’honneur cède enfin. La tête de son gourdin s’insinue entre mes fesses, tellement compressée qu’elle doit perdre un peu de son diamètre pour ...
    ... s’engager plus loin. Mais à peine cette frontière franchie, son gland se regorge aussitôt de sang. Sa verge est comme coincée dans mon trou du cul que je ne peux m’empêcher de contracter pour expulser l’intrus. Mon Dieu que c’est douloureux ! Jamais mon cul n’a été à telle fête, ou plutôt à tel supplice.
    
    Narcisse attend que je me détende et commence à rentrer dans mon anus, tout doucement, centimètre par centimètre. Je respire comme une femme en train d’accoucher, grimaçant un peu de douleur, les lèvres pincées, je m’avoue enfin vaincue.
    
    Un frisson me parcourt l’échine et vient exploser dans mon bas-ventre quand il donne un dernier coup d’estoc, rentrant sa bite dans mon cul. J’ai un peu mal au début mais au fur et à mesure qu’il me pénètre, cela m’apporte de plus en plus de bien.
    
    Quelques minutes plus tard, je sens ses couilles heurter ma fente. J’ai de plus en plus envie de jouir à nouveau et l’encourage.
    
    -Oui mon bébé, je sens tes couilles qui tape mon minou. Continue, plus fort, plus vite. Encule-moi comme la salope que je suis !
    
    J’ai un orgasme très violent, peut-être le plus violent de ma vie. Je crie comme une folle. Mais lui ne fait plus cas de moi, ses deux mains sur mes hanches, il me tronche comme jamais je ne l’ai été. Je suis sur les genoux, c’est le cas de le dire et le supplie à nouveau.
    
    -Je n’en peux plus, jouis dans mon cul, mon bébé, jouis, jouis, jouis !!!
    
    Et comme tout à l’heure, comme s’il avait attendu cet ordre libératoire, je sens sa bite ...