« Josy »: La petite salope ne veux pas se faire sodomiser Épisode 23
Datte: 27/06/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
... pas forcé ? L’as-tu griffé, giflé ? Alors où est le problème, la police dira que tu étais consentante. Tu sais Germain à un père très puissant, ton papa simple ouvrier agricole pourrait avoir de gros ennuis, s’il apprenait que tu racontes ces choses-là. » Avec ce que j’avais entendu, s’en était trop, ce porc allait le payer un jour, ça ne pouvait pas continuer. Avec le travail que j’avais à la guinguette et au restaurant, le week-end, je m’étais déplacée chez-lui, le lundi à midi.
Lorsqu’il m’avait ouvert la porte, je n’avais pas eu besoin de me présenter. Charles B me reçut dans l’entrée, il me prit le bras et me dit : « Je sais que c’est toi qui as fait jeter la brique à travers la vitre de mon salon. » En effet, il me la montra et sortit de sa poche un mot qui fut sans doute fixé sur cette brique : « Tu es un violeur, tu vas le payer. » Puis il me menaça de porter plainte, j’étais bien ennuyée car cela n’arrangeait pas mes affaires.
— Écoutez Mr Charles, je sais des choses sur vous. Marie G et Colette ma mère, ça vous dit probablement quelque chose.
À cet instant, il devint pâle et en me tirant par le bras, me fit sortir sur le trottoir. J’avais compris, il ne désirait pas que sa femme et son fils, se trouvant à la cuisine, entendent notre conversation et ne tenait pas que sa propre famille soit mise au courant de ses méfaits : « Écoutez Mlle B, je ne sais pas ce que vous savez, mais je n’ai rien à me reprocher. Marie n’était pas très futée, elle ne savait pas ...
... ce qu’elle disait.
Quant à votre mère, elle était majeure et vaccinée. Vous devriez rentrer chez-vous. » Ayant remarqué qu’il avait remis le petit mot dans sa poche, il était probable qu’il ne l’ait pas montré à son épouse et c’était sans doute pour cette raison, qu’il n’avait pas encore porté plainte.
— Votre femme ne vous a pas demandé pourquoi il était écrit violeur sur le mot ? Est-elle au courant des propos que vous avez tenus à la jeune Marie à l’époque pour défendre un violeur.
Sa couleur de peau s’éclaircit encore un peu plus, maintenant qu’il était certain que je n’avais rien à voir avec la brique, il se sentait menacé. D’autre part, il était surpris que j’en sache autant et désirait que toute cette affaire se termine : « Écoutez Mlle, j’ai fait des erreurs de jeunesse, c’est vrai et je m’en excuse mais s’il vous plait, n’en dites rien. Je vous promets que dès demain, je fais le nécessaire, je vais voir le Commandant T qui, lui aussi insiste afin que j’annule la mise en demeure. Vous aurez en temps et en heure, votre autorisation d’ouverture.
Quatre jours avant l’inauguration de la discothèque « Le Paradise-Club », ce fut Gilbert en personne qui vint m’apporter le document tant espéré. J’avais enfin l’autorisation d’ouverture en ma possession. Je me doutais bien pour quelle raison il avait demandé à son supérieur de venir lui-même, je supposais qu’il désirait coucher avec moi et surtout me sodomiser, ce que je lui avais toujours refusé. Pourtant, étant ...