« Josy »: La petite salope ne veux pas se faire sodomiser Épisode 23
Datte: 27/06/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
... déplacer une issue de secours située à 15 cm en dehors de la norme, alors que le capitaine F avec l’accord de son commandant, au moment de la visite précédente, avaient donné tous les deux leur aval oralement, ce qui évitait de déplacer cette issue afin que la cloison amovible puisse coulisser sans la bloquer, ni l’obstruer. J’avais crié au scandale et les six autres membres étaient entièrement de mon avis.
À 14 heures, pensant que la Mairie avait les pleins pouvoirs dans cette situation, j’étais arrivée dans le bureau de Patrice, très remontée, en repoussant sa secrétaire : « Comment as-tu pu envoyer ce con de Christian à ta place à cette commission, tant importante pour l’ouverture du « Paradise-Club ? » Il me regardait comme deux ronds de flan, il se demandait de quoi je parlais : « Tu étais bien en réunion ce matin ? Alors que tu devais être chez-moi ? » « Mais non ma puce ! C’est Christian qui m’a proposé de m’y remplacer afin de me permettre de souffler un peu. Pourquoi ? » Je lui expliquai en deux mots et il comprit son erreur :— Mais là ma petite Josy, je n’y peux rien, je ne peux pas prendre le risque de signer si je n’ai pas la signature des pompiers.
En sortant de la Mairie, je pensais réellement que mon calvaire allait se terminer là. J’avais juste à téléphoner à Gilbert et le tour était joué, bien entendu, je savais que si j’allais lui demander ce service, en contrepartie il m’imposerait de prendre ma petite rondelle. Je n’en avais pas forcément envie, ...
... cependant si c’était le passage obligé (LOL), je me ferais sodomiser volontiers afin d’obtenir cette autorisation. Malheureusement, ça ne s’était pas passé de cette façon. En effet, lorsque j’avais joint Gilbert, celui-ci m’annonça que ce n’était pas de son ressort, qu’en tant que Chef de centre, il n’avait pas le pouvoir officiel pour signer un tel document départemental.
Je devais donc passer par le Commandant T, chef de groupement. Il nous restait que quinze jours avant l’inauguration, toute la publicité à la radio, sur les journaux et les affiches 4X3, indiquant l’ouverture de la nouvelle discothèque « Le Paradise-Club » était lancée, je ne pouvais plus reculer. Soit, nous avions ces signatures, soit, nous ouvrions sans, avec les conséquences que cela pouvait engendrer. Jean-Lou était totalement contre, il ne voulait pas que nous ne soyons hors la loi et me demanda de le laisser gérer cette affaire. Dans son milieu homosexuel, il avait beaucoup d’appuis.
J’avais toutefois dès le lendemain, rencontré le Commandant T, un homme charmant qui n’était pas contre mon projet. Il reconnaissait avoir constaté le déplacement de cette issue de secours en disant, lors d’une visite que ce contre temps n’occasionnerait pas de refus le jour de la commission de contrôle et regrettait de ne pas l’avoir consigné par écrit. Il était prêt à signer cette autorisation, néanmoins il lui fallait l’accord de la personne qui avait déclaré la mise en demeure. C’est-à-dire : Charles B.
Là était ...